Brise l’image, disperse les mots.
Un poing brutal éclate les sons
Fêlures de l’inimaginable trahison.
Transparence blessée, éclats de vie
Fissures fatales, jamais guéries
Retours empêchés, serments oubliés
Les mots séparés, à jamais déliés,
Errent, débris balayés, orphelins
Ballotés dans un monde chagrin.
Dans les mots séparés, on entend aussi les serments, le bons moments et la fragilité des sentiments
RépondreSupprimerC'est exactement ce que tu écris que la délicatesse des liaisons et leur fragilité ; lorsqu'elles sont fatales, elles détruisent ...
RépondreSupprimerÉvocation fine, profonde - et talentueuse.
RépondreSupprimerJC
Quand la trahison détruit à jamais la délicatesse des liaisons, il en reste des bleus à l'âme.
RépondreSupprimerprofonde déchirure dans ce court poème où les liaisons peuvent être destructrices
RépondreSupprimerDes liaisons mal t'à propos
RépondreSupprimerEt tout part à vau l'eau...
Un bel et troublant double sens.
Quand tes mots font la liaison avec la blessure, ils témoignent d'une belle écriture poétique et mélancolique.
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