J'ai repris l'idée de Célestine pour faire un texte à ma façon avec les mots qu'elle suggérait.
Fête, sapin, étoile, huîtres, guirlandes, boules, rennes, cheminée, lutins, traîneau, grelots, gui, neige, dinde, foie gras, père Noël, cadeaux, bougies, lumières, cadeaux, champagne, houx.
– Merde je me suis piqué le cul avec le houx, brailla la vieille dinde en renversant son verre de champagne.
Pas très étonnant le père Noël sur son traîneau n'avait que sa barbe pour seul artifice et ses grelots s'agitaient chaque fois qu'il se baissait pour distribuer les cadeaux. Les lumières brillaient de tous leurs feux mais sa bougie semblait sur le déclin.
La fête au Club 69 battait son plein alors que chaque mâle tentait de passer sous la porte de verre illuminée de toutes ses guirlandes, sur l'imposte une branche de gui s'étalait, royale, avec pour seul espoir de redorer leur cheminée fatiguée, la franchissant ils espéraient l'impossible.
Chaque année le Club organisait une soirée pour les vieux libertins en mal de souvenirs. De jeunes lutins, flamberge au vent fixant les étoiles s’occupaient des vieilles septuagénaires cherchant à leur offrir un brin de plaisir même si leurs huîtres trop usagées semblaient bien asséchées.
Que les vieux mâles, foie gras en évidence, se jettent sur la corne de renne pour retrouver une fierté disparue n'avait rien d'exceptionnel chacun sait que la neige refroidissait toute velléité, leurs boules n'ayant pas plus de rondeurs que les sacs qui les contenaient.
Seul le sapin restait droit, fier comme un petit banc.
C'était pathétique.
Fête, sapin, étoile, huîtres, guirlandes, boules, rennes, cheminée, lutins, traîneau, grelots, gui, neige, dinde, foie gras, père Noël, cadeaux, bougies, lumières, cadeaux, champagne, houx.
– Merde je me suis piqué le cul avec le houx, brailla la vieille dinde en renversant son verre de champagne.
Pas très étonnant le père Noël sur son traîneau n'avait que sa barbe pour seul artifice et ses grelots s'agitaient chaque fois qu'il se baissait pour distribuer les cadeaux. Les lumières brillaient de tous leurs feux mais sa bougie semblait sur le déclin.
La fête au Club 69 battait son plein alors que chaque mâle tentait de passer sous la porte de verre illuminée de toutes ses guirlandes, sur l'imposte une branche de gui s'étalait, royale, avec pour seul espoir de redorer leur cheminée fatiguée, la franchissant ils espéraient l'impossible.
Chaque année le Club organisait une soirée pour les vieux libertins en mal de souvenirs. De jeunes lutins, flamberge au vent fixant les étoiles s’occupaient des vieilles septuagénaires cherchant à leur offrir un brin de plaisir même si leurs huîtres trop usagées semblaient bien asséchées.
Que les vieux mâles, foie gras en évidence, se jettent sur la corne de renne pour retrouver une fierté disparue n'avait rien d'exceptionnel chacun sait que la neige refroidissait toute velléité, leurs boules n'ayant pas plus de rondeurs que les sacs qui les contenaient.
Seul le sapin restait droit, fier comme un petit banc.
C'était pathétique.
La corne de renne! Bon sang, mais c'est bien sûr
RépondreSupprimerC'est bien dur, tu veux dire ? ;-)
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆