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dimanche 7 juin 2015

Fred Mili - Soleil

« Soleil, je t’adore comme les sauvages À plat ventre sur le rivage… » 
Je ne sais pas pourquoi j’avais ces vers de Cocteau qui me trottaient dans la tête. Allongé en plein soleil, en maillot de bains, les pieds baignant dans le fleuve, maillot, un bien grand mot pour un petit bout de tissu qui ne cachait que l’essentiel toujours est-il que je me reposais de ma précédente nuit. D’ailleurs j’avais du mal à croire ce qui c’était véritablement passé. La belle Italienne rencontrée Aux deux magots me semblait encore irréelle. Au premier verre de Champagne que je lui offris, elle m’effleura la cuisse à une hauteur que la décence m’interdit de citer . Son geste provoqua des étincelles tout le long de ma colonne vertébrale mais non seulement…ma masculinité était prête à sonner le tocsin. Elle me confia qu’elle collectionnait les amants comme d’autres collectionnent les Rolex. Après trois coupes de Champagne, elle me manipulait sans vergogne, en tout cas son tripotage n’altérait pas mes sens. Je subodorais qu’elle voulait s’assurer que tout soit en ordre de marche. Je dois dire que ce qu’il se passa dans cette brasserie ne m’était jamais arrivé auparavant. J’aimais ce qu’elle me faisait et l’idée que cela soit en public m’amusait profondément. Je ne me connaissais pas ce côté exhibitionniste. Pour tenter de minimiser l’incidence physique qu’elle provoquait, je répétais les cavatines de Mozart dans ma tête mais il ne me revenait que des fragments de partition qui s’envolaient au fur et à mesure que ma volonté faiblissait. Je ne connaissais pas le programme des réjouissances qui allaient suivre mais j’y souscrivais pleinement. Elle me montra l’hôtel Saint-Germain de l’autre côté du boulevard, en me mordant l’oreille elle murmura : »On va là-bas ? » Du doigt je lui montrai mon bichon sagement assis sous mon siège en disant simplement : »Allons chez moi. » Je ne sais pas exactement à quelle heure elle s’en est allée parce que sitôt arrivé à la maison, je me suis endormi profondément. J’ai un vague souvenir d’avoir été un peu molesté mais les bras que me tendaient Morphée étaient irrésistibles.

Où lire Fred Mili 

samedi 6 juin 2015

Blick - Soleil

Pacotille
Soleil, je t'adore comme les sauvages
A plat ventre sur le rivage.

Batifolons mon bel amant doré
m'invite la lune d'argent.

Je l'aperçois là-bas qui effleure les dunes, jetant dans le ciel pâle des étincelles de sable, des touffes d'œillets marins et des fragments de queues-de-lièvre. Je ne manque jamais, d'habitude, de souscrire à ces réjouissances, mais aujourd'hui, selon l'éphéméride, la lune vient de se lever à 21 heures 53 et moi, hélas, je me couche à 22 heures 10. La galipette tiendrait plus d'une cavatine à l'italienne que des symphonies pastorales dont je raffole, en plusieurs actes, avec saluts et rappels. Sauf à manipuler sans vergogne le calendrier cosmique, mais on risquerait alors d'altérer la marche des astres, provoquant des désastres incalculables par les astronomes, qui sonneraient le tocsin dans la voie lactée et jusqu'à la constellation du Petit Chien. Grâce aux télescopes modernes, nous savons désormais que c'est un bichon, mais à quoi cette science m'avance ce soir si, au terme de ma course diurne, je tombe de sommeil dans l'océan que la nuit bientôt noircira.

L'arpenteur d'étoiles - Soleil

Soleil je t'adore comme les sauvages
A plat ventre sur le rivage
où s'endorment les amants
de passage.
Soleil,
tu m'as offert
ma première
étincelle velours.
Jamais dans ma mémoire
ne s’altérera
ce souvenir d'amour.

Mais quel age
avait-elle, à l'heure rousse
où le tocsin sonna dans mon cœur
lorsqu'elle me laissa effleurer
sa peau douce
sous les ombrages ?
Le jour fuyait,
cavatine silencieuse
peuplée de fragments de nuit.
Là-bas, aux bords incertains des vagues bleues
dansaient de jeunes italiennes
sur des marches de pierre,
comme vestales promises aux dieux.

Le ciel se coucha sur la mer.
Enlacés dans des parfums inconnus
le regard perdu
dans le champ des étoiles,
nous abandonnions nos rêves
aux voiles
d'une éternité trop brève.

Désormais,
soleil menteur
je te hais.

Lilousoleil - Soleil

"Soleil, je t’adore comme les sauvages
A plat ventre sur le rivage »

 Alléchante cette pub pour un séjour sur une île méditerranéenne, repos, soleil, plages de sable fin.
Au programme des réjouissances,
vous pourrez faire  de belles et grandes promenades juste quelques heures de marche tranquille pour garder la forme sans jamais vous fatiguer
vous profiterez  aussi des bains de mer, d’enveloppements d’algues qui vous offriront détente et raviveront  le grain de votre  peau par simple effleurement.
Un  kinésithérapeute diplômé, vous dispensera des massages ayurvédiques et vous fera découvrir le plaisir des exercices physiques pour maintenir votre corps en forme.
Là-bas, vous aurez tous les soirs un concert de musique classique ou cavatine italienne…
Vous pouvez souscrire à ce voyage dès à présent et si vous êtes parmi les premiers vous bénéficierez d’une réduction substantielle.
Dis -mon Bichon, regarde ce que propose cette  brochure, nous pourrions pour une fois partir en voyage, mettre un peu de distance avec notre quotidien, faire rejaillir l’étincelle de notre amour et…
     Qué amour, qué étincelle, j’ai pas de briquet ! T’entends pas le tocsin… Moi je m’en fous, je pars à la pêche, puis après j’irai boire un coup avec Dédé, faire une coinche… Et pis tiens, t’as qu’à prendre un amant ;  y t’fera des caresses, y t’manipulera les bras et les jambes et y saura bien te jouer du violon et le tout pour pas un rond ! bon c’est pas tout, à d’main salut !

Où lire Lilousoleil

vendredi 5 juin 2015

AOC - Soleil

Soleil, je t’adore comme les sauvages à plat ventre sur le rivage… Sur la plage chromatique étincelle la douceur d’un fragment de bonheur, loin de toute réjouissance.

Qui entendra le tocsin, saura qu’il n’aurait jamais souscrire à la mode assassine.

Ce bel amant là, j’aime tant le sentir m’effleurer, le voir poursuivre sa marche paisible en repoussant gentiment quelques débris d’étoiles sur un air de cavatine italienne, le sentir altérer le calme de la nuit, le laisser manipuler mes désirs matinaux.

Oui, je l’aime. Comme mon œuf à la coque : tôt.

mercredi 3 juin 2015

Gene M - Soleil

Soleil, je t'adore comme les sauvages
A plat ventre sur le rivage

Ce vers de Cocteau me trotte dans la tête, en devient obsédant.
Allongée sur une plage de la riviera italienne, le soleil m'enveloppe de sa chaleur.
Des fragments  d’images terribles me reviennent, m'agressent... Je tente de les éloigner en me concentrant sur le magnifique paysage. 
La mer étincelle de bleu, les palmiers oscillent lentement sous le souffle léger du vent. Des plantes exotiques d'un vert électrique et des collines bleutées dans le lointain  complètent le décor de carte postale. 
Tout cela est vain. J'ai beau contempler la Méditerranée, la plage, mon regard ne fait qu'effleurer les  choses, il ne les pénètre pas.
Toujours ce vers de Cocteau et ce mot SAUVAGE.....
Sauvage, sauvage, un meurtre sauvage, un crime de sauvage.
Je revois les titres des journaux, un célèbre fait-divers.

"Une richissime retraitée poignardée à mort dans sa belle villa de Menton"
Mon amant Diego et moi nous voulions tout, tout de suite et ma tante était si riche.
Diego m'aimait et je l'aimais mais je voulais l'argent de ma tante ...

Diego a compris, j’ai vu son visage s'altérer. Il a lu la culpabilité dans mes yeux. Il n'a pu le supporter. Il est reparti en Andalousie. Je l'imagine  là-bas, près du fleuve, le Guadalquivir...
Le remords est une prison plus terrible qu'une cellule.
Le soleil s'enfonce doucement dans les flots bleus, éclaboussés de rouge,  de sang ? 
Soleil je t’adore comme les sauvages...
Je voulais le soleil, les palmiers, la mer bleue, et Diego...
Soleil tu m'as manipulée....

Je me lève et je marche doucement vers ma belle villa.
Encore un jour de solitude...
Je n'ai jamais revu Diego

Chri - Soleil

Soleil, je t’adore comme les sauvages
A plat ventre sur le rivage

Sauvage, je t’adore comme les soleils
À plat rivage sur le ventre.



Ah mon bichon chéri ! Nom de nom, la réjouissance en marche de bousculer, de manipuler l’ordre agencé. De ne jamais prendre un texte tel qu’il est écrit. D’en altérer le sens visible ou d’en effleurer les sens cachés, de sonner le tocsin du confort, de faire naitre cette étincelle dans l’œil et la cervelle, de ne pas toujours souscrire, l’âme fermée à ce qui est lu, d’avoir cette superbe vaguement italienne qui fait de là-bas un proche d’ici, d’un fragment le voisin du tout. Tu vois, du genre qui fait rimer bottine et cavatine...

C’est sans doute cela, ami, être amant des mots.

Nounedeb - Soleil

Soleil, je t’adore comme les sauvages à plat ventre sur le rivage ; soleil je t’honore comme l’amant qui marche, se réjouissant de boire à la source glacée ; Soleil je déplore les reflets d’étincelles, brisés sur la mer italienne, altérant mon là-bas de fragments ignorés ; soleil tu fais éclore en fragments de parfum des bichons transalpins jamais manipulés, qui ne peuvent souscrire au tocsin endiablé sur un rythme de marche, cavatine bravache.

Soleil, j’adore les sauvages qui vont le ventre plat en dépit de leur âge écouter le tocsin qui sonne, ici, là-bas, le glas des réjouissances ; j’adore qu’un amant altéré, l’âme haute, chante la cavatine à jamais tandis que se couchant les rayons du soleil effacent à son visage les traces de son âge.


Où lire Nounedeb

mardi 2 juin 2015

Mamily - Soleil

''Soleil, je t'adore comme les sauvages,
 A plat ventre sur le rivage.''

Mon bichon, Mon soleil,
Jamais je ne laisserai la marche du temps, ni son tocsinaltérer ne serait-ce que des fragments de la mémoire des réjouissances où, amants,nous effleurions tous deux, là-bas, les vagues italiennes avec des étincelles de bonheur.

JCP - Soleil

Img: JCP  Le Château, Oléron
                     
Le soleil des amants

Soleil, je t'adore comme les sauvages
A plat ventre sur le rivage
lorsque, dernier fragment d'étincelle
que le flot multiplie,
ultime trait de lumière
que les marches de la nuit viennent altérer,
plongé dans la mer tu meurs doucement.
Et bientôt, chant de silence entendu seul des amants
que la réjouissance enflamme,
s'élève dans les airs ta cavatine italienne.

Alors, sous tes ardeurs
qui d'heure en heure se font plus douces,
la lèvre effleure la lèvre et,
souscrivant à l'ancien rite,
l'espèce humaine chavire cul dans le sable,
et se perpétue dans un crissement douloureux.

Lorraine - Soleil

Soleil, je t’adore comme les sauvages
A plat ventre sur la plage

(Jean Cocteau)

    Tu peux me suivre au pays des amants,  m’effleurer comme la brise italienne sans jamais altérer la douce cavatine qui chante en mon cœur.
   
    Quand sonne le tocsin du soir, tu marches vers l’horizon et ta dernière étincelle m’endort d’un bienheureux sommeil.

    L’aube viendra heurter mon carreau de son immortelle réjouissance.

Où lire Lorraine

Cadichonne - Soleil

« Soleil, je t’adore comme les sauvages à plat ventre sur le rivage ;

Ne me mettez jamais en cage pour altérer mon bronzage ! »

Bon,  faut dire que, à plat ventre sur le rivage, merci les réjouissance(s) : je te prie, mon amant, mon petit bichon, d’éviter de  m’effleurer le dos, rapport à mes brûlures au troisième degré…

Hormis ce bémol, ne te prive de manipuler  aucun fragment de mon corps : à voir l’étincelle dans tes yeux, tu n’es pas loin de sonner le tocsin

Et si on faisait ça à l’italienne là-bas, comme une pizza Calzone  sur les rochers brûlants, amor ?  Tu jouerais de ton archet et si ça marche bien, j’entonnerais une sacrée cavatine !

Puisses-tu souscrire à tous mes désirs, sole della mia vita ! 


Laura Vanel-Coytte - Soleil

"Soleil, je t’adore comme les sauvages
A plat ventre sur le rivage (Jean Cocteau) »

Oh soleil soleil soleil soleil soleil soleil ! (allusion à une chanson de Nana Mouskouri)

Ton retour est source de réjouissance
Ton départ provoque la souffrance

Oh soleil soleil soleil soleil soleil soleil

Ne pars jamais trop loin de moi
Marche bien dans mes pas

Oh soleil soleil soleil soleil soleil soleil

Ne laisse pas ton aura s’altérer
Ne cesse jamais de m’effleurer

Oh soleil soleil soleil soleil soleil soleil

Allons écouter une cavatine de Bellin
A Venise, la sérénissime italienne

Oh soleil soleil soleil soleil soleil soleil

Ne nous soucions pas du tocsin
Que mon amant utilise ses mains

Oh soleil soleil soleil soleil soleil soleil

Là-bas, faisons tout pour que l’étincelle
Ne demeure pas qu’un fragment de soleil

Oh soleil soleil soleil soleil soleil soleil

Je n’aime pas les bichons
A l’Arsenal : je préfère les lions

Oh soleil soleil soleil soleil soleil soleil

Je ne me laisse pas manipuler par la technologie
Je préfère souscrire aux lumières des librairies

Oh soleil soleil soleil soleil soleil soleil

Un œil dans mon livre, un autre dans le paysage
Sous le soleil, je tourne les pages

Où lire Laura VANEL-COYTTE

lundi 1 juin 2015

Ecri'turbulence - Soleil

"Soleil, je t’adore comme les sauvages
A plat ventre sur le rivage ».
 

À plat sur le ventre de mon amant,
j'entends une voix italienne
sonner le tocsin de mes désamours.

C'est la fin des réjouissances.
Soleil, tous les fragments de ma vie,
tu les altères de tes étincelles.

Jamais les cavatines de Mozart
ne furent aussi bien interprétées,
lorsque, de tes rais, tu as effleuré le visage de la cantatrice.

Soleil, cesse de manipuler mes vertiges.
Je souscris à toutes tes exigences,
parce que, là-bas, une marche funèbre retentit.

Soleil, d'amour pour toi, mon bichon mignon
s'en est allé
dans les bras de la diva.

Où lire Écri'turbulence

Clémence - Soleil

Soleil, je t'adore

Soleil, je t'adore comme les sauvages à plat ventre sur le rivage.

Je gisais, à moitié assommée. Les lèvres blanchies par le sel, la peau déjà brûlée. Pourtant, cette balade en goélette avait bien commencé. Une bande de copains, un anniversaire à fêter, les réjouissances s'annonçaient plus belles que jamais. Les soirs d'escale, le vin coulait à flot, les lumières chaudes altéraient peut-être la robe du vin mais pas ses arômes divins.

J'étais la seule femme à bord, déguisée, pour l'occasion en gentil moussaillon. Les regards effleuraient parfois, un peu goguenards, mon épaule dénudée.

Pour tous, la bonne marche du bateau était la priorité . De temps à autre, l'un des nôtres chantait à tue-tête et dans le vent, rien que pour le « ma », la célèbre cavatine rossinienne : « Una voce poco fa”. D'autres se sentaient l'humeur italienne et bramaient “O sole mio” tout en choquant ou bordant les voiles.

Là-bas, cria l'un de nous, montrant la côte, les “Cinque Terre”. Quelques instants plus tard, nous entendîmes sonner le tocsin. Nul ne sut jamais pourquoi. Nous, nous imaginions un drame aussi sombre que Colomba, où, cette fois, ce serait l'amant qui serait sacrifié.

Nous mîmes le cap sur la Corse. Dans la nuit magnifique, les étoiles jetaient leurs étincelles comme si une main géante éparpillait les fragments d'un miroir dans l'immensité.

Terre! Terre!
Nous étions redevenus des enfants, nous sautions de joie sur le pont, tels des bichons devant leur platée de croquettes 5 étoiles.  Qui de nous s'est pris les pieds dans les écoutes? Qui n'a su manipuler la barre correctement? Allez savoir!

Hélas, trois fois hélas, aucun de nous n'avait pensé à souscrire à une assurance anti-naufrage.


A plat ventre sur le rivage, je fus la première,  à adorer le soleil levant, comme une sauvage.

Vegas sur sarthe - Soleil

Bonne mine

Soleil, je t’adore comme les sauvages
A plat ventre sur le rivage”

En déclamant du Cocteau, mon italienne - au lieu d'effleurer le sable chaud de son pied nu telle une vestale drapée à l'antique - s'affala de tout son long dans un creux de la dune.

“Viens vite mon bichon” me pria t-elle comme si nous étions deux amants seuls au monde et en parodiant je-ne-sais-plus-qui elle ajouta “les réjouissances, c'est maintenant!”.

Et la voilà qui se dépouille en entamant d'une fausse voix de baryton Ah, che bel vivere, che bel piacere... Che bel piacere, per un barbiere di qualità, di qualità”.

Jamais aucune de mes conquêtes ne s'était offerte aussi insolemment en brâmant cette cavatine du Barbier de Séville!

Je n'avais rien d'un barbier de qualité et de surcroît j'entrevoyais qu'elle n'avait plus rien à raser!

Alors devant tant d'insistance j'ai souscrit à cette fascinante étincelle qui brillait dans ses prunelles et à ces trésors dorés qu'elle m'offrait.

Là-bas, au fin fond de la dune, les vaguelettes battaient leur incessant va-et-vient... tout comme l'étrange tocsin qui carillonnait sous mon crâne brûlant; au-dessus de nous le Soleil continuait sa marche vers l'horizon rubescent, altérant nos ombres agitées.

C'est à cet instant précis que j'ai hésité... je balançais entre manipuler, gesticuler et fourrager.

J'ai lâché le crayon - pestant contre moi-même - incapable une fois de plus d'achever mon récit.

Dans sa chute un fragment de la mine s'était détaché et pointait effrontément le mot Réjouissances.

Ah j'avais bonne mine! même si je souriais intérieurement en songeant aux adeptes du Coitus Impromptus qui devaient eux aussi s'échiner sur le sujet...

Où réjouir Vegas sur sarthe

Semaine du 1 au 7 juin 2015 - Soleil

Cette semaine, laissons paître ou s'entre-dévorer nos animaux imaginaires pour répondre au défi proposé par Lorraine sur le thème Soleil:

Dans cette liste de quinze mots, vous en choisirez au moins dix pour votre oeuvre en prose ou en vers:
réjouissance, jamais, altérer, effleurer, marche, cavatine, italienne, tocsin, amant, là-bas, étincelle, fragment, bichon, manipuler, souscrire.
Votre texte devra débuter par ce vers de Jean Cocteau:
"Soleil, je t’adore comme les sauvages
A plat ventre sur le rivage »

Merci de nous faciliter les choses en soulignant ou en mettant en gras les mots que vous aurez choisis.

Vous aurez jusqu'au dimanche 7 juin 2015 à minuit pour nous éclairer sur votre Soleil à l'adresse habituelle impromptuslitteraires[at]gmail.com après quoi tout le monde ira se coucher.
Bonne semaine