Le lointain s’espace
Comme naviguant déjà
Sur d’autres eaux
Bien plus lasses
Il en est des bateaux
Comme bien des humains
Ils vivent leur destin
Puis s’en vont au-delà
Derrière les larmes du hublot
Pointe la nostalgie
D’un temps imparti
Qui va s’encalminer
Le voyage est fini
Avait-il vraiment commencé
Repos matelot
Le grand océan pourra te bercer
Sur d’autres eaux
Bien plus lasses
Il en est des bateaux
Comme bien des humains
Ils vivent leur destin
Puis s’en vont au-delà
Derrière les larmes du hublot
Pointe la nostalgie
D’un temps imparti
Qui va s’encalminer
Le voyage est fini
Avait-il vraiment commencé
Repos matelot
Le grand océan pourra te bercer
Tout ça est tellement vrai et résonne en moi - père d'expatriés - tout particulièrement.
RépondreSupprimerLe poème est très beau, Tisseuse et la photo évocatrice
très très beau !
RépondreSupprimerJe dédie ton poème à mon père, parti à la fin de l'été, et j'ai les yeux humides.
RépondreSupprimerMerci Tisseuse
¸¸.•*¨*• ☆
Je suis d'autant plus touchée que j'ai ecrit ce poème en pensant à ma mère qui est partie il y a 7 ans et qui aimait tant la mer et les bateaux. Mon père s'en est allé aussi il y a 3 ans...
SupprimerComme cet arrangement de mots (mystérieusement) est beau et touche profondément, on ne sait pas pourquoi, simple comme une balade, un tour en bateau, la vie, le souvenir...
RépondreSupprimermerci beaucoup Bricabrac :)
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