Accrochées amoureusement au vieux moulin privé d'ailes,
Des cascades de fleurs, comme autant de ritournelles.
Des notes de couleurs, des parfums, à la faveur du soleil,
Bourdonnant gentiment du chant tranquille des abeilles.
À son pied, des iris en écume mauve, coulant jusqu'au chemin,
Celui longeant la rivière à l'éclat sublime dans le petit matin..
Une immense roue couverte d'algues caresse le courant,
lui imprimant la saveur de la vallée et de ses champs.
Loin là bas, le lit de la fileuse se jette dans la mer,
rejoignant gaiement l'agitation d'un tout autre univers,
par delà le grand phare surplombant les falaises,
libérant dans ses alluvions des histoires et de la glaise.
Joli ton poème, je ne sais absolument pas faire ça !
RépondreSupprimerBucolique et très doux, j'aime beaucoup !
RépondreSupprimerJe plussoie, une belle bucolicosité !
RépondreSupprimer3 en 1, quel talent!
RépondreSupprimerbelle fluidité !
RépondreSupprimertes mots coulent comme cette eau qui va vers la mer
je trouve que tu as bien capté l'essence même de ces photos, et de cet endroit (mis à part qu'il n'y a pas là-bas de falaise)
C'est très joli! ;-)
RépondreSupprimerMazette ! Voilà qui fleure bon la pastorale. Bravo, Landrynne !
RépondreSupprimerMerci beaucoup ☺
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