étalé en galette
sur le sable blanc
qui me colle à la peau
j’entends les cris
les rires des enfants
leurs plongeons
leurs barbotements
dans cette eau transparente
le ressac métronome
en symphonie mineure
s’entremêle aux sons
à en devenir bouillie
si douce
si apaisante
à me noyer
dans un abîme
un océan de léthargie
où plus rien n’existe
rien ne compte
si ce n’est toi à mes côtés
tu vois
reste toujours vivace
le souvenir
de ces instants magiques
de la plénitude
de nos vingt ans
de ces étés brûlants
avec toi
mon amour
un texte de Daniel, c'est comme l'été, on le goûte, et puis il s'en va trop vite :)
RépondreSupprimertellement contente de te relire ici, Daniel, et d'entre apercevoir un rayon de ton soleil poétique
sinon, je ne suis pas surprise de te voir magnifier l'été à travers un poème d'amour
merci Tisseuse
RépondreSupprimeret moi content également de pouvoir participer, le temps et les idées se faisant rare... mais la rareté n'est-elle pas parfois synonyme d'intensité ? :-)
je t'embrasse bien fort !
à bientôt
daniel
Belle évocation ! L'amour est comme le soleil : il nous liquéfie. Léthargie de l'été : ici gît un éther de toute éternité ! ;-)
RépondreSupprimerC'est ce que l'on appelle l'éternété...
RépondreSupprimer¸¸.•*¨*• ☆
Des mots comme des vagues au cœur d'un été torride et sensuel
RépondreSupprimerDaniel, quel plaisir de te lire à nouveau, poétique, doux et toujours l'amour d'été et éternel ...
RépondreSupprimerUne ode à l'été, aux amours juvéniles. ];-D
RépondreSupprimerDes souvenirs brûlants comme un coup de soleil. Tu as le coeur qui pèle ?
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