L’été à l’odeur sucrée
Vaguement écœurante
Des beignets et des fêtes foraines
Des chaleurs soudaines
Et des corps libérés
Sous les étoiles filantes
Les amants font vœux d’éternité
Les illusions pleuvent à la peine
Approchez, approchez
Des attractions dissonantes
C’est le sacre rêvé
Des nuits ardentes
Et des fêtards avinés
Que le blues emmène
Sur les quais de dégaine
Le temps pourrait s’arrêter
A ce solstice d’été
Où les passions exacerbées
S’embourbent dans des traînes
Décadentes
Aux jours d'été poisseux et gluants, je préfère l'hiver, et le feu crépitant !!!
RépondreSupprimerça a son charme aussi :)
SupprimerTu décris bien cet été, saison de tous les excès et des sens exacerbés
RépondreSupprimermerci :)
SupprimerAh le slow de l'été ! Le tube de l'été ! On sent bien que tu ne les aimes qu'à moitié !
RépondreSupprimerOu, autrement dit, moite-moite, l'été ! ;-)
ton commentaire me rappelle le sketch de Guy Bedos et de Sophie Daumier :)
SupprimerNuit gourmande bis ? ;-)
RépondreSupprimer¸¸.•*¨*• ☆
un peu...
Supprimerje pense que tu les aimes entièrement, malgré la décadente, les illusisons ...
RépondreSupprimermais les nuits ardentes !!
trop d'ardeur tue le bonheur peut-être...
SupprimerQu'est-ce que ça va être le 14 juillet !
RépondreSupprimerun feu d'artifice :))))
SupprimerJe suis un peu comme toi Tisseuse : je trouve que l'été manque souvent de retenue.
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