Plus verte que la feuille
Elle allait quoi qu'on veuille
Faisant offrande aux fleurs
De surplus intérieurs.
Humide batracienne
Et bonne citoyenne,
Seule la rose aimée
La voyait soulagée.
Comme il n'est point de mal
Que de croquer des pommes,
Le bien de l'animal
N'est pas celui de l'homme...
Lors cent générations
Reçurent l'héritage
Voulant qu'on se soulage
Aux roses d'excrétions.
Dès lors dans les jardins
La place devint nette :
Ni roses ni rainettes -
Il est de tristes fins.
Où lire JCP
Comme il n'est point de mal
Que de croquer des pommes,
Le bien de l'animal
N'est pas celui de l'homme...
Lors cent générations
Reçurent l'héritage
Voulant qu'on se soulage
Aux roses d'excrétions.
Dès lors dans les jardins
La place devint nette :
Ni roses ni rainettes -
Il est de tristes fins.
Où lire JCP
Tout est bizarre depuis la pomme de ce pêcher original, alors moi aussi je photographie, sans trop comprendre... triste fin :)
RépondreSupprimerBonjour Vegas, peut-être trop de circonvolutions pour dire enfin que les rainettes décidèrent un jour de faire leurs besoins nauséabonds au cœur des roses, ce qui à terme provoqua la disparition des roses comme des rainettes des jardins...
RépondreSupprimerPas trop inspiré par le sujet...et pas envie de me noyer au romantisme traditionnel qu'inspire la rose...
JC
c'est peut-être une parabole de notre monde cloaque :(
RépondreSupprimer- Simplement une rainette urinant sur la rose, comme la photo le dit incontestablement..."faisant offrande aux fleurs de surplus intérieurs"...pour cent générations...etc...
SupprimerJC