Le salon dormait dans la pénombre
Juillet et ses volets fermés
Juillet devenait sombre
Juillet elle n'avait pas imaginé
Elle avait choisi juillet
Pour s'en aller
L'abandonner
Tu parles d'un été
Dans le noir
Elle refusait le désespoir
Son chagrin sur les genoux
Elle misait tout sur le mois d'aout
On pouvait bien sonner
Elle n'y répondrait pas
Il fallait l'oublier
Ils ne comprendraient pas
Elle regrettait déjà
Ces petits temps complices
Qui n'y paraissent pas
Et qui font qu'on existe
Le salon dormait dans la pénombre
Elle allait déjà mieux
Elle la fille de l'ombre
Avait parlé aux cieux
Juillet et ses volets fermés
Juillet devenait sombre
Juillet elle n'avait pas imaginé
Elle avait choisi juillet
Pour s'en aller
L'abandonner
Tu parles d'un été
Dans le noir
Elle refusait le désespoir
Son chagrin sur les genoux
Elle misait tout sur le mois d'aout
On pouvait bien sonner
Elle n'y répondrait pas
Il fallait l'oublier
Ils ne comprendraient pas
Elle regrettait déjà
Ces petits temps complices
Qui n'y paraissent pas
Et qui font qu'on existe
Le salon dormait dans la pénombre
Elle allait déjà mieux
Elle la fille de l'ombre
Avait parlé aux cieux
Très sympa à lire, comme un bercement.
RépondreSupprimerTelle qui pleure en juillet
RépondreSupprimeren août rigolera...
Très joli poème, tout doux
¸¸.•*¨*• ☆
Je ne voudrais pas paraître rabat-joie mais on dit aussi "En juillet ou en août, ni femmes ni choux".
RépondreSupprimerSi le chou est indigeste, j'ai dégusté ce poème sans modération
Je vous remercie, c'est ma deuxième participation. J'hésite beaucoup à chaque fois.
RépondreSupprimerEh bien le résultat en vaut la peine!
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