Chaque matin doré
Le soleil s'empressait
D'aller la voir pousser
Au milieu des forêts
Cette maison champignon
Tous les jours grandissait
Les lutins travaillaient
A son évolution
Elle était toute en bois
Normal dans un bois
Il fallait qu'on la voit
Alors on la peigna
Pas bien riches ils étaient
Le peintre avait donné
Tout ce qui lui restait
Des pots abandonnés
Les couleurs firent merveille
Le toit était groseille
La porte toute à rayures
Les volets bleu azur
Les murs à petits pois
La cheminée on l'oublia
Où lire Mel
Du neuf éclatant avec de vieux restes, belle idée.
RépondreSupprimerQue c'est beau une maison champignon, qu'importe la cheminée oubliée, si les couleurs firent merveille.
RépondreSupprimerbon suis pas fière de moi, peigna, c'est pas le passé simple de peindre, c'est celui de peigner, vous comprenez, pour la rime ça m'arrangeait....
RépondreSupprimerMel: « La poésie a, comme la vie, l'excuse de ne rien prouver. » Emil Michel Cioran
Supprimermais c'est pas grave Mel ! je regrette d'avoir fait mon instit sur ce coup-là...pardonne moi !
RépondreSupprimerBizak a raison, en poésie, on peut tout écrire...
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bien sur que ce n'est pas grave, d'ailleurs, c'est peut être un coup de peigne qu'elle a reçu la maison champignon avant de se faire repeindre ... qui sait ?
RépondreSupprimerOui, c'est vrai... ^^
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
j'aime bien les maisons champignons peintes par les Schtroumpf bleus ... qui sont aussi poètes :o)
RépondreSupprimerAlors on la peinda, non?
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