Comment j'ai raté le brevet sportif, mais découvert les
impromptus.
Propulsé par Célestine, pour ceux qui ne la connaissent pas, je peux vous dire que je préfèrerais sauter sur elle, plutôt que sur une mine !
Toujours le compliment délicat prêt à fuser, nous sommes comme ça chez Blogborygmes.
Ah les impromptus ! J'hésitais à envoyer des textes, j'y lisais des poèmes délicats, je ne sais absolument pas poétiser ! C'est un don le poème, les fées qui se sont penchées sur mon berceau ont dû se casser la gueule, car elles ne m'ont pas accordé cette grâce.
Et puis je suis bien chez vous, merci de l'accueil, ça n'est pas bégueule du tout, je suis un mec simple, j'ai été poursuivi par les études, cancre j'étais... Il en faut des cancres, ça permet aux premiers de se sentir moins bêtes.
Les usines dans lesquelles j'aiglandé œuvré durant
quarante ans, m'ont plus appris sur les hommes (et les dames, avec lesquelles
j'ai beaucoup aimé travailler) que des centaines d'ouvrages consacrés aux
relations humaines.
Tiens nos politicards feraient bien d'aller exercer un VRAI métier parfois, peut-être seraient ils moins déconnectés.
Enfin je ne vais pas cirer des pompes, mais je souhaite vous côtoyer encore longtemps, je pense être l'ancêtre, le vieux, le doyen, le dinosaure, le croulant (rayer les mots inutiles) de ce blog, alors : "carpe diem" comme disent les Inuits.
Propulsé par Célestine, pour ceux qui ne la connaissent pas, je peux vous dire que je préfèrerais sauter sur elle, plutôt que sur une mine !
Toujours le compliment délicat prêt à fuser, nous sommes comme ça chez Blogborygmes.
Ah les impromptus ! J'hésitais à envoyer des textes, j'y lisais des poèmes délicats, je ne sais absolument pas poétiser ! C'est un don le poème, les fées qui se sont penchées sur mon berceau ont dû se casser la gueule, car elles ne m'ont pas accordé cette grâce.
Et puis je suis bien chez vous, merci de l'accueil, ça n'est pas bégueule du tout, je suis un mec simple, j'ai été poursuivi par les études, cancre j'étais... Il en faut des cancres, ça permet aux premiers de se sentir moins bêtes.
Les usines dans lesquelles j'ai
Tiens nos politicards feraient bien d'aller exercer un VRAI métier parfois, peut-être seraient ils moins déconnectés.
Enfin je ne vais pas cirer des pompes, mais je souhaite vous côtoyer encore longtemps, je pense être l'ancêtre, le vieux, le doyen, le dinosaure, le croulant (rayer les mots inutiles) de ce blog, alors : "carpe diem" comme disent les Inuits.
tu es toujours le bienvenue ici, avec ta gouaille et tes ch'tiots crobards que j'adore :)
RépondreSupprimeret tes textes sont plaisants, et ta bonne humeur aussi !
d'ailleurs, si tu vois Célestine, ramène là un peu par chez nous, j'aime aussi beaucoup lorsqu'elle nous rend visite :)
Tisseuse : je l'ai vu il y a un mois environ, dans une charmante petite ville portuaire, je pense qu'elle ne nous oublie pas, mais elle doit être fort occupée. ];-D
SupprimerTa franchise devrait être franchisée, mon cher Andiamo. Elle rameute du populo ! et ça, c'est bon, autant à lire que pour un des objets de ce lieu : libérer la parole. A bientôt ;)
RépondreSupprimerTiniak : Oh tu sais, je ne vais me gonfler comme la grenouille de la fable, à ce jeu on est vite démasqué : "Cachez la queue d'un âne, il montrera toujours les oreilles" (et réciproquement)... ];-D
SupprimerBen voilà ! c'est tout toi : encore un comm' à rincer proprement XD
SupprimerChablis ?
SupprimerJ'aime les cancres et nuls en poésie qui ont fréquenté les usines !
RépondreSupprimerT'en vas pas, Andiamo
Végas : Aussi bizarre que cela puisse paraître, j'ai rencontré dans les usines des compagnons au langage rude certes, ils m'ont aussi fait découvrir des auteurs, le langage imagé d'alors n'empêchait pas l'amour des belles pages.
SupprimerToi, un vieux ? Allons donc ! Avec ta vivacité d'esprit, ta verve, ta truculence que j'adore, tu en remontrerais à bien des jeunes C...
SupprimerAlors tous les qualificatifs que tu t'attribues, je les raye d'office.
Merci Andiamo pour ta chaude présence sur ce site. Je cire encore là ? Tant pis. ;-)
Marité : Tu sais que Andiamette et moi nous nous marrons lorsque nous évoquons la mort, cet après midi je lui ai dit : "quand ma fumée s'élèvera dans le ciel tu diras : "il a toujours rêvé de s'élever... C'est fait" !!
Supprimer… et on a beau s'élever, on finit toujours par des cendres :)
SupprimerAh bah, voilà ! Du vegas à revendre. Pffgnihihi Xd
Supprimertu ne sais pas poétiser, dis tu ? moi non plus, et qu'importe ! si ce n'était que la seule de mes insuffisances... rappelle toi ce qu'a dit Louise Ackermann : " Pour écrire en prose, il faut absolument avoir quelque chose à dire. Pour écrire en vers, ce n'est pas indispensable." et Dieu sait qu'il y a plus de choses essentielles à dire dans les usines que dans les salons
RépondreSupprimerEmma : Dans ces usines qui fleurissaient en région parisienne, j'y ai croisé des "personnages" hauts en couleurs, ils mériteraient un billet, et vous, vous sortiriez vos mouchoirs pour pleurer... De rire ! ];-D
SupprimerBzzzzz ! Je vois ça autrement : la prose dit une chose à quelqu'un, la poésie en évoque mille, selon tout un chacun.
SupprimerMerci de faire suivre à Loulou, chou XD
Tiniak : En fait j'apprécie la poésie, mais je ne sais absolument pas écrire des poèmes.
SupprimerM'étonne pas de toi !:-)))
RépondreSupprimerMarité : sur mon avis de décès il lui faudra écrire :
RépondreSupprimer- il ne fumait plus depuis X années, si vous voulez le voir fumer à nouveau, rendez vous au crématorium, suivi de la date et heure ! ];-D
A propos (#mohoho), savais-tu, très cher Andiamo, que Jeanne d'Arc s'est éteinte, le 30 mai 1431, deux heures après sa mort ? XD
SupprimerTiniak : Ce que je sais de Jehanne c'est qu'une fois sur le bûcher elle aurait déclaré (je cite) : "je n'aurais pas dû pisser avant de monter" ! ];-D
SupprimerAndiamo, quel plaisir de covoiturer avec toi dans les Impromptus.
RépondreSupprimer;-)
K : En fait je viens de l'écrire à Mapie, nous avons des rapports textuels. ];-D
SupprimerBon j'attache ma ceinture, et covoiturons z'ensemble.
Et ça irait jusqu'à ...obsédé textuel ?
Supprimer;-)
Moi j'ai toujours eu un faible pour la préhistoire et pour les dinosaures ... Alors, je choisi ce mot...et je raye les autres... De toutes façons, il me semble que nous sommes tous plus ou moins de la même ère... l'air de rien! Sinon que ferions nous ici à errer hors sentiers... ;-)
RépondreSupprimerMapie : l'essentiel est de ne pas manquer d'air, comme disait Auguste Michelin. ];-D
SupprimerLes études ne nous donnent qu'une infime partie des connaissances utiles pour bien vivre ! Nous apprenons toute la vie et parfois dans la bonne humeur, comme ici...Ton humour est très plaisant, ne change rien surtout !
RépondreSupprimerMaryline : Merci ! L'école m'a appris les bases indispensables, lire, écrire, compter, le reste fut un apprentissage sur le tas, au hasard des rencontres, internet, blogborygmes et récemment les impromptus,furent des rencontres magiques.
RépondreSupprimerTout est bon chez toi, Andiamounet, y a rien à jeter comme disait le grand Georges !
RépondreSupprimerEt merci pour le compliment délicat à mon endroit...
Bisous énamourés
¸¸.•*¨*• ☆
Célestine : Je te retourne le compliment, chez toi non plus y'a rien à jeter ! Un compliment délicat ? Tu sais je ris souvent pour faire semblant de ne pas pleurer, et je ne taquine que les gens que j'aime, les autres je les ignore.
SupprimerCélestine : Chez toi itou y'a rien à jeter (les autres ne soyez pas jalminces)
Quant au compliment, tu me connais un peu belles châsses, je ne taquine QUE les gens que j'aime. ];-D