Du frisson
Ta voix déshabillait
Le cœur
Caressait les étoiles
Au rythme des notes
Qui bleuissaient la nuit
Le corps osait
Sa délivrance
La voix s'est couchée
Tout près du piano
Un silence
Frissonne sur la peau
un hommage tout en pudeur, comme toute ta poésie :)
RépondreSupprimerla voix s'est couchée à jamais dans nos oreilles
Tout en suggestion et petites touches justes, j'aime beaucoup !
RépondreSupprimerCe que les vibrations d'une voix peuvent provoquer au plus profond de notre être… tu l'exprimes avec douceur. J'adore
RépondreSupprimerQuel bel hommage !
RépondreSupprimerUn grand merci ( un peu tardif !)à vous pour vos commentaires
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