Tu n'es pas infaillible ma caille.
Faut-il que je comble tes failles et que tu polisses en moi toutes aspérités pour commencer à vivre ? Je doute...
Il est des chantiers qui ne finissent jamais. Cet emploi est de rêve : une vie toute entière et finir imparfait.
Quand la faille est un gouffre, toutes proportions gardées, nous n'y pouvons rien faire, sauf se faire une raison. Et pour cette béance qui t'effraie je le sais, puis-je te suggérer de n'en point voir le fond ?
Observe comme le trou parait étroit dès lors qu'on le regarde sous le bon angle, du bon endroit... Oserai-je te dire que cet endroit c'est là.. oui , là, au creux de mes bras...
Voilà que tu défailles ma caille...
Où lire Mapie
Faut-il que je comble tes failles et que tu polisses en moi toutes aspérités pour commencer à vivre ? Je doute...
Il est des chantiers qui ne finissent jamais. Cet emploi est de rêve : une vie toute entière et finir imparfait.
Quand la faille est un gouffre, toutes proportions gardées, nous n'y pouvons rien faire, sauf se faire une raison. Et pour cette béance qui t'effraie je le sais, puis-je te suggérer de n'en point voir le fond ?
Observe comme le trou parait étroit dès lors qu'on le regarde sous le bon angle, du bon endroit... Oserai-je te dire que cet endroit c'est là.. oui , là, au creux de mes bras...
Voilà que tu défailles ma caille...
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assez obscur ce dialogue :(
RépondreSupprimerje dirai même inquiétant...
La faille est caustique… j'ai failli comprendre :)
RépondreSupprimerMapie j'ai cru que tu allais parler du trou de la Sécu, que nenni, tu parles du creux de tes bras, je préfère ! ];-D
RépondreSupprimerEn creux, c'est trou...blant !
RépondreSupprimer"Toute une vie pour finir imparfait", tu as mille fois raison et pourtant, que d'énergies vaines, dépensées pour essayer de te faire mentir...Un travail harassant.
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