De tous les liens
tu n'es ni le plus fort ni le plus noble,
et les poètes ne te célèbrent pas.
Ta fibre de chanvre ou de sisal
n'exhale pas les senteurs lointaines
des cordages marins ;
et pourtant la tige creuse des herbages
et le pantalon côtelé du paysan,
pitoyables sans toi,
rejoindraient la poussière des champs.
Aussi chantons les mérites,
ni trop serrées ni trop lâches,
de tes liaisons délicates,
ô toi, ficelle de lieuse !
Une interprétation bien ficelée de la consigne! Toi aussi, JCP tu as la fibre :)
RépondreSupprimerUne liaison inattendue, originale et certainement très juste! :)
RépondreSupprimerliaison inattendue mais qui dépeint avec justesse et un brin de nostalgie un peu de temps passé ... et puis content de te relire ici JCP !
RépondreSupprimerMerci beaucoup Lorraine et Végas, pour vos commentaires sur ce sujet bien modeste.
RépondreSupprimerJC
contente aussi de te relire chez les Impromptus
RépondreSupprimeravec un texte empreint de sagesse :)
La ficelle qui tient le pantalon, quand le bouton a lâché...
RépondreSupprimerMerci beaucoup Tisseuse et Arpenteur, je suis touché par votre accueil malgré le temps passé, et je tâcherai de me montrer plus fidèle à l'avenir.
RépondreSupprimerAmicalement,
JC
Idée originale et ...attachante. Suspens tout en délicatesse.
RépondreSupprimerMerci Lira pour ton attachement à cette bien modeste liaison...
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