Guirlandes de peinture
Paul Sérusier a fait poser à des jeunes filles -qui semblent bretonnes- une « guirlande de Roses [1] » sur des arbres dans un paysage vallonné et vert où les tabliers font de jolies tâches.
Giorgio de Chirico encadre un paysage avec une ile et des bâtiments d’une guirlande
De fleurs [2] : la guirlande semble l’emporter sur l’ile et ses bâtiments sur fond de montagnes.
Le 5 mai, au Japon, la fête des garçons a notamment pour décor des poissons en guirlandes
Raoul Dufy tresse une « Guirlande de fleurs [3] » qui se suffit à elle-même : aquarelle
De couleurs pastel sur fond bleu, ciel, terre ; eau et gouache ; bleu Dufy s’il existe.
Marie Laurencin peint une « Jeune fille à la guirlande de fleurs [4] » avec les couleurs pâles
Qui la caractérisent ; le rouge seulement est vraiment un peu plus vif que la tonalité générale.
Daniel Seghers entoure un médaillon représentant le Triomphe de l’amour d’une guirlande
De fleurs [5] : difficile de dire si, dans ce tableau, c’est la nature ou le mythe qui l’emporte.
C’est la Sainte famille que Francken et un des Brueghel couronnent d’une guirlande parfaite [6].
[4]http://www.artnet.fr/artistes/marie-laurencin/jeune-fille-%C3%A0-la-guirlande-de-fleurs-DyEPcdb7XM1RCpaxTY4Z2w2
merci pour les références picturales !
RépondreSupprimeravec le sourire
Quelle culture ! On ne t'enguirlandera pas, sûr Ségur ];-D
RépondreSupprimerUn qui s'est fait enguirlander aussi, c'est De Chirico, après son abandon de la peinture métaphysique où j'ai mon doigt !
RépondreSupprimerMa préférée est Marie Laurencin. De loin ...
RépondreSupprimerEst-ce l'effet de l'été indien ? ;-)
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on pourrait poursuivre encore longtemps cette guirlande picturale....
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