Après avoir longtemps erré dans la campagne
y ai laissé mon pagne et quelques rêves mous
l'idée d'une compagne avec le cheveu roux
armée de francs courroux, quand la rage la gagne
Madame, aux cent virages...
Ô Très Chère au sang frais
l'est doux, votre visage
mais quel piège y logez !
Oublieux au grimoire
je réfute les mots
que j'avais dit, tantôt
par des ratures noires
Restez là ! pour entendre
vous, issue de la ferme
mais aux formes si tendres
quel est votre épiderme
Eh, chérie ! C'est du flan
et pas du meilleur cru
ce que tu m'as vendu
et sans prendre de gants
Toi ? Tu es l'araignée
en confort, sur la toile
tissée comme une voile
sur un navire à quai
Tant va la cruche à l'eau
que c'est du pain béni
pour les tristes dénis
trempés d'Amaretto
Oh, c'en est trop ! C'est bon ! Va jouer dans ta cour...
Où plonger dans son ventre...
Enivrez-vous, qu'il disait, Charles B.
RépondreSupprimerTe voilà donc rendu aux A.A., Acrosticheurs anonymes, à confondre les femmes et le vin ?
Tant pis pour toi ! La dame t'a entendue et est partie faire un tour dans le tableau de Célestine ! Et là bas, tout le monde est ravi !
Hier, je buvais comme un sagouin, tout le monde le savait. Aujourd'hui, je me suis rendu aux alcooliques z'anonymes. Demain, je boirai autant, mais en mode furtif :p
SupprimerAttends... Pas Ravi Shankar !?!
SupprimerIl se trouve que je lui préfère sa fille aînée, enfin libérée de l'emprise de son père et magnifique chef d'orchestre, même si elle le doit à son padre (voire au concert hommage à la mort de George Harrison). Euh, baba...
un acrostiche sacrément suggestif qui me fait réaliser qu'à trop battre la campagne on a des rêves éveillés... :)
RépondreSupprimerl'amour serait-il venu trop tôt qu'il faille se consoler avec de l'Amaretto ?
Je vais avoir le bon goût de ne pas prendre ton poème pour moi...
RépondreSupprimerEtre rousse, ça me joue des tours...
Hihi !
¸¸.•*¨*• ☆
Non, non... Il s'agit d'une Elfe qui est passée dans (sur ?) ma vie ;)
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