Ce sont des chansons qu'on a perdu d'oreille, et qui ressurgissent comme ça, par hasard, le hasard de la programmation d'une radio, d'une fenêtre ouverte, ou d'un réseau social.
Ce sont des chansons qu'on a aimées, qui ont pu accompagner nos rêves, qui parlent d'aventure, d'une sorte d'absolu et d'autres rêves.
De grands espaces, des océans, des accords de guitare, un banjo parfois, ou à l'occasion un violon solitaire mélancolique comme une lande irlandaise.
Il y a de l'anglais, de l'occitan, du français, de l'italien aussi ?
Elles parlent de tout, de rien, d'une fille du nord, des tours de Saint Malo, le rythme des essuie-glace sous la pluie du sud, de cet amant qui préféra être pendu que de trahir l'honneur de celle qu'il aimait, et encore des tours de Saint Malo où l'on ne cesse de revenir, même si l'on trouve la montagne plus belle encore.
Elle surgissent du passé, où l'on croyait les avoir oubliées, intactes, on les fredonne sans louper un temps et dans leurs valises, toutes ces émotions qui nous submergent, ce passé que l'on revoit, la vue troublée comme par une poussière dans l’œil.
Où lire Jacques
Ce sont des chansons qu'on a aimées, qui ont pu accompagner nos rêves, qui parlent d'aventure, d'une sorte d'absolu et d'autres rêves.
De grands espaces, des océans, des accords de guitare, un banjo parfois, ou à l'occasion un violon solitaire mélancolique comme une lande irlandaise.
Il y a de l'anglais, de l'occitan, du français, de l'italien aussi ?
Elles parlent de tout, de rien, d'une fille du nord, des tours de Saint Malo, le rythme des essuie-glace sous la pluie du sud, de cet amant qui préféra être pendu que de trahir l'honneur de celle qu'il aimait, et encore des tours de Saint Malo où l'on ne cesse de revenir, même si l'on trouve la montagne plus belle encore.
Elle surgissent du passé, où l'on croyait les avoir oubliées, intactes, on les fredonne sans louper un temps et dans leurs valises, toutes ces émotions qui nous submergent, ce passé que l'on revoit, la vue troublée comme par une poussière dans l’œil.
Où lire Jacques
il est tellement vrai que les chansons nous ramènent exactement, comme intactes, à des époques bien précises, des contextes, et des personnes avec lesquelles nous les écoutions
RépondreSupprimerWhen I was young I'd listen to the radio
RépondreSupprimerWaitin' for my favorite songs
When they played I'd sing along, it made me smile
Those were such happy times and not so long ago
How I wondered where they'd gone
But they're back again just like a long lost friend
All the songs I loved so well
Every sha-la-la-la
Every wo-o-wo-o, still shines
Every shing-a-ling-a-ling, that they're startin' to sing's, so fine
(Yesterday once more. The Carpenters)
Tu te souviens de cet air là ?
L'émotion musicale est une belle poussière dans l'oeil.
RépondreSupprimerPiochant par hasard quelques textes je suis heureuse de tomber sur le votre ... le mot "italien" me rafraîchit la mémoire de quelques mélodies chantantes et joyeuses ! Merci ...
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