Soleil, je t’adore comme les sauvages
A plat ventre sur la plage
(Jean Cocteau)
Tu peux me suivre au pays des amants, m’effleurer comme la brise italienne sans jamais altérer la douce cavatine qui chante en mon cœur.
Quand sonne le tocsin du soir, tu marches vers l’horizon et ta dernière étincelle m’endort d’un bienheureux sommeil.
L’aube viendra heurter mon carreau de son immortelle réjouissance.
Où lire Lorraine
Les grands embrasements naissent des petites étincelles (ce n'est pas moi qui le dis, c'est Richelieu)
RépondreSupprimerSi Richelieu l'a dit, je m'incline!
SupprimerChapeau .... de soleil, pour ce texte qui, s'il est bref, compte les dix mots et dégage une ambiance qui ... me plaît!
RépondreSupprimerChapeau bas ;)
Remets ton chapeau, Clémence, le coup de soleil est traître !
SupprimerMerci pour ton message
j'aime réciter tes textes à voix haute:tes mots m'enchantent:o)
RépondreSupprimerQue te répondre, chère Mamily, sinon que je suis confuse...mais heureuse que mes mots puissent te toucher. Merci très amical,
SupprimerUn bel hommage au soleil, à son fidèle retour chaque jour.
RépondreSupprimerLe chapeau étant déjà tiré par Clémence, j'enlève les lunettes !
°_°
Oh! non, pitié pour tes yeux! Le soleil darde et comme nous venons tous de l'encenser, il se pavane encore davantage!
SupprimerMerci, Cadichonne
Soleil ne meurs pas et retrouve nous tous les matins de juin, et puis les autres aussi...
RépondreSupprimerLe soleil fait souvent des caprices, mais il n'a pas l'intention de mourir, JCP. Merci pour ta visite.
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