A plat ventre sur le rivage
Sauvage, je t’adore comme les soleils
À plat rivage sur le ventre.
Ah mon bichon chéri ! Nom de nom, la réjouissance en marche
de bousculer, de manipuler l’ordre agencé. De ne jamais prendre
un texte tel qu’il est écrit. D’en altérer le sens visible ou d’en effleurer
les sens cachés, de sonner le tocsin du confort, de faire naitre cette étincelle
dans l’œil et la cervelle, de ne pas toujours souscrire, l’âme fermée à
ce qui est lu, d’avoir cette superbe vaguement italienne qui fait de là-bas
un proche d’ici, d’un fragment le voisin du tout. Tu vois, du genre qui
fait rimer bottine et cavatine...
J'adore et j'adhère!
RépondreSupprimerPari gagné: bottine et cavatine se sont trouvé des affinités inattendues et ton texte est originalement réjouissant!
RépondreSupprimerC'est beau comme un soleil sur un ventre ....
RépondreSupprimerEntre les mots il m'a semblé entendre Flaubert conseiller son ami Maupassant...
RépondreSupprimerMention très bien !
@ Lorraine Bottine et cavatine c'est Rimbaud... On n'est pas sérieux quand on a dix sept ans...
RépondreSupprimerAmant des mots! Quelle belle idée de bousculer le thème de cette manière... ça me botte :)
RépondreSupprimerLes parfums, les couleurs et les sons se répondent, dans ces mots
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