"Soleil, je t’adore comme les sauvages
A plat ventre sur le rivage ».
À plat sur le ventre de mon amant,
j'entends une voix italienne
sonner le tocsin de mes désamours.
C'est la fin des réjouissances.
Soleil, tous les fragments de ma vie,
tu les altères de tes étincelles.
Jamais les cavatines de Mozart
ne furent aussi bien interprétées,
lorsque, de tes rais, tu as effleuré le visage de la cantatrice.
Soleil, cesse de manipuler mes vertiges.
Je souscris à toutes tes exigences,
parce que, là-bas, une marche funèbre retentit.
Soleil, d'amour pour toi, mon bichon mignon
s'en est allé
dans les bras de la diva.
Où lire Écri'turbulence
Désamour, autre nom, autre adresse, autre blog... mais on te retrouve quand même, ex-Littér'auteurs!
RépondreSupprimerautre vie de blog aussi. celui-ci est davantage consacré à mon écriture qu'à celle de ceux qui sont experts en la matière...
SupprimerJe n'aurais pas du venir vous lire, ça me décourage dans mon écriture..
RépondreSupprimerRaymond Queneau aurait dit : "C'est en écrivant qu'on devient écriveron"...
SupprimerAlors persévérons !
Des turbulences commencées sur le ventre, effleurant le visage et finissant dans les bras...!!
RépondreSupprimerLes fans du soleil sont corps et âme fascinés...
SupprimerComment le Soleil pourrait-il ne pas entendre cette prière d'amour et de chagrin?
RépondreSupprimerMieux valent les bras d'une diva qu'une maja sur un divan... **)
RépondreSupprimerComment lutter contre celles qui font si bien chanter les mots...
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