''Soleil, je t'adore comme les sauvages,
A plat ventre sur le rivage.''
Mon bichon, Mon soleil,
Jamais je ne laisserai la marche du temps, ni son tocsin, altérer ne serait-ce que des fragments de la mémoire des réjouissances où, amants,nous effleurions tous deux, là-bas, les vagues italiennes avec des étincelles de bonheur.
Beau condensé... les plus courts ne sont-ils pas les meilleurs?
RépondreSupprimerMerci Vegas!J'admire ta générosité.Tu as le génie des mots....même dans tes commentaires!:o)
SupprimerConcis, efficace, percutant !
RépondreSupprimerMerci!:o)
SupprimerTout est dit !
RépondreSupprimer*_*
:o) Merci!
SupprimerQuel talent de synthétiser ainsi!
RépondreSupprimerTrop sympa!:o)
SupprimerUne ode au soleil bien ardente et bien dite. Comment resterait-il de glace, ton bichon?... :)
RépondreSupprimerMerci Lorraine !!Le soleil ''ardent'' est là pour le faire fondre:o)))
SupprimerDes mots que l'on aimerait entendre... allongé sur le rivage...
RépondreSupprimerCela me rappelle la chanson des vieux amants de Brel...
A moi aussi!Merci:o)
SupprimerLa carte postale d'Italie jaunit lentement sur le mur ; une des quatre punaises vient de tomber sur le parquet....
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup.Merci!:o)
Supprimer