« Soleil, je t’adore comme les sauvages à plat ventre sur le rivage ;
Ne me mettez jamais en cage pour altérer mon bronzage ! »
Bon, faut dire que, à plat ventre sur le rivage, merci les réjouissance(s) : je te prie, mon amant, mon petit bichon, d’éviter de m’effleurer le dos, rapport à mes brûlures au troisième degré…
Hormis ce bémol, ne te prive de manipuler aucun fragment de mon corps : à voir l’étincelle dans tes yeux, tu n’es pas loin de sonner le tocsin…
Et si on faisait ça à l’italienne là-bas, comme une pizza Calzone sur les rochers brûlants, amor ? Tu jouerais de ton archet et si ça marche bien, j’entonnerais une sacrée cavatine !
Puisses-tu souscrire à tous mes désirs, sole della mia vita !
Au second degré, comme une pizza Calzone c'est déjà trop cuit, alors au troisième...
RépondreSupprimerJe vois que le soleil est une sacrée source d'inspiration(s) et que les mots imposés sont aussi légers qu'une tenue de plat-giste en été....;)
RépondreSupprimerLe petit bichon fera certainement de son mieux... :)
RépondreSupprimerCe texte est ''coquin'' et m'a bien amusée, la photo aussi!:o))
RépondreSupprimerIl fallait y penser!
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