ABSENCE
Mon précieux, mon ange
Quand le ciel immuable
S’engloutit de gris
Je sais
Que l’ombre de tes yeux
Se prolonge en moi.
Alors je couve de mes mains
La flamme fragile
Qui me guidera un jour
Au delà du chemin des ruines.
Une absence écrite de façon absolument touchante de sobriété et de tendresse Claudie.
RépondreSupprimerzoz ..
Au delà du chemin des ruines... Quelle jolie expression...
RépondreSupprimerTant que la flamme ténue ne s'éteint pas, il reste l'espoir. Joli texte, Claudie
RépondreSupprimerSuperbe de fébrilité contenue, j'applaudis des paupières pour n'en pas couvrir le murmure...
RépondreSupprimerJuste une envie folle de reconstruire...
RépondreSupprimerenvie de marcher sur la pointe des pieds...
RépondreSupprimerL'amour souffre dans ce beau poème,
RépondreSupprimerLorraine
Simplement très beau
RépondreSupprimerJe me plais à recopier la fin de ton beau texte ''la flamme fragile qui me guidera un jour au delà du chemin des ruines''Ces mots me touchent particulièrement.
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