″Fleurpageons
Les rhododendroves
Gyrait et vomblait dans les vabes
On frimait vers les pétunias
et les momerates embradent ″
Si vous écoutez attentivement,
c’est ce que soupire au vent
ce gros matou vert
qui, printemps comme hiver
passe son temps à dormir au fond du jardin.
Un peu plus loin, figé pour l’éternité,
Lui, qui n’a pas l’air d’un minet
Joue-t-il à chat perché ?
Quant à Grippeminaud
Il se livre au grand saut
Et pendant ce temps, derrière son sourire
N’entendez-vous pas :
″Fleurpageons
Les rhododendroves
Gyrait et vomblait dans les vabes
On frimait vers les pétunias
et les momerates embradent ″ *
*Emprunté au chat du Cheshire
Beaucoup de poésie dans ton interprétation où les mots-valises de Lewis Carroll font mouche (enfin, Meow)
RépondreSupprimerjoli ! tu nous invites à la rêverie !
RépondreSupprimerentrons tous dans le pays imaginaire de Lewis Caroll...
Un monde dans lequel il fait bon voyager....
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RépondreSupprimerLe chat du Cheshire et puis un peu de Queneau aussi ... et aussi du rêve et de l'imaginaire et un appel à passer de l'autre côté du miroir. Joli !!
RépondreSupprimernb : j'ai supprimer le com précédent, mais c'était le mien avec des fôtes et j'avais honte :o))
Pour un peu, les slictueux se torvaient de rire ! Bon borogove, Alice moderne !
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