Le soir tombait calme et tiède, et mes pensées s’envolaient vers d’autres
ciels, vers d’autres mondes. Quelques oiseaux glissaient leurs ailes sous un
vent doux et parfumé. Au bas de la falaise, une maison ancienne aux fenêtres
étroites, regardait l’océan.
Un piano se mit à jouer doucement.
La mélodie accompagnait par bribes le soleil couchant qui embrasait la mer.
Un piano se mit à jouer doucement.
La mélodie accompagnait par bribes le soleil couchant qui embrasait la mer.
Un peu plus tard, le phare illumina les eaux et la terre.
Une belle douceur sur laquelle veille un phare rassurant...
RépondreSupprimerj'aime cette mélancolie douce, en fond sonore un piano :)
RépondreSupprimerUn texte court, simple mais tellement beau !
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup le FAR Breton ! ];-D
RépondreSupprimerJe suis ignoble, je le sais !
Oui, et mystérieux aussi, un peu...
RépondreSupprimerQuelle quiétude... ;-)
RépondreSupprimerLa solution ? La dissolution dans la contemplation... comme un retour aux (res)sources ;)
RépondreSupprimer