Lorsque la traversée du miroir
Nous révèle nos mondes intérieurs
Féerie du pas de côté
Hors champ salvateur
Et magie du dépouillement
Riment alors avec espoir
De se découvrir une véritable beauté
Celle du cœur palpitant
Émouvant de profondeur
Au-delà du voir et du savoir
Dans une présence en vérité
Loin des jugements
Des hontes et des peurs
Qui hantent les mauvais soirs
Le pas de côté devant le miroir me fait penser au ballet des Marx Brothers dans "La Soupe au canard"
RépondreSupprimerhttps://www.youtube.com/watch?v=U_D8M11GUng
génialissime scène que tu m'as remise en mémoire :)
SupprimerUn deuxième texte...
RépondreSupprimerTu nous régales ! j'aime l'intériorité.
¸¸.•*¨*• ☆
merci Célestine :)
SupprimerS'il est bien "une présence en vérité" de ce côté du miroir des Impromptus, c'est bien toi, cher Miss Tiss ♥
RépondreSupprimertrès touchée de cette remarque, ami poète :)
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