Les repères maritimes
Un samedi. Rien à l'horizon. Puis soudain, la mer à l'horizon, à une heure. Prendre la poudre d'escampette, ne le dire à personne. S'enfuir vers les vagues.
La dernière fois qu'on y est allé avec des copains, on pensait bien la faire la randonnée. Mais les copains aiment trop boire et manger, y passent tout leur temps, restait juste assez pour quelques jeux de pétanque. On est rentré frustré. La randonnée sera partie remise.
Il faisait beau samedi. Un soleil doux. Entrer dans la forêt où vivent les arbres magiques. Apercevoir de temps à autre l'océan par de petites lucarnes. Etre à deux parmi d'autres marcheurs à deux, ou seuls, ou troupes. Mais ce n'est pas la foule, loin de là. La plupart des gens disent bonjour sauf les troupeaux qui sont trop occupés à être entre eux. L'humain se comporte comme il peut.
Nous arrivons à la pointe, quelques uns s'y attardent. C'est beau de partout. Le sable, le bleu, le vert se mélangent harmonieusement. D'autres couleurs s'ajoutent avec les kitesurfeurs. Le beau ressource l'âme et fait le grand ménage. Un homme a l'air de connaître l'endroit, nous lui demandons si on peut aller plus loin. Il confirme mais ne sait pas grand chose sur la suite du chemin. Nous y allons et trouvons une plage qui ressemble au paradis. Belle et sauvage. Très Peu de monde. Les plantes ont le temps d'y pousser sans être écrasées. Les falaises font le décor. Un autre monde. Savourer les instants iodés. Et observer que quelques autres aussi les ont cherchés. Silence.
Puis reprendre le chemin à l'envers. Longer par un sentier plus proche de la mer. Voir le ciel et la mer mettre leurs habits du soir. Terminer la balade sur la grande plage déserte. Les vagues et leurs dentelles ne dansent rien que pour nous.
Les repères maritimes sont vraiment de bon goût.
Un samedi. Rien à l'horizon. Puis soudain, la mer à l'horizon, à une heure. Prendre la poudre d'escampette, ne le dire à personne. S'enfuir vers les vagues.
La dernière fois qu'on y est allé avec des copains, on pensait bien la faire la randonnée. Mais les copains aiment trop boire et manger, y passent tout leur temps, restait juste assez pour quelques jeux de pétanque. On est rentré frustré. La randonnée sera partie remise.
Il faisait beau samedi. Un soleil doux. Entrer dans la forêt où vivent les arbres magiques. Apercevoir de temps à autre l'océan par de petites lucarnes. Etre à deux parmi d'autres marcheurs à deux, ou seuls, ou troupes. Mais ce n'est pas la foule, loin de là. La plupart des gens disent bonjour sauf les troupeaux qui sont trop occupés à être entre eux. L'humain se comporte comme il peut.
Nous arrivons à la pointe, quelques uns s'y attardent. C'est beau de partout. Le sable, le bleu, le vert se mélangent harmonieusement. D'autres couleurs s'ajoutent avec les kitesurfeurs. Le beau ressource l'âme et fait le grand ménage. Un homme a l'air de connaître l'endroit, nous lui demandons si on peut aller plus loin. Il confirme mais ne sait pas grand chose sur la suite du chemin. Nous y allons et trouvons une plage qui ressemble au paradis. Belle et sauvage. Très Peu de monde. Les plantes ont le temps d'y pousser sans être écrasées. Les falaises font le décor. Un autre monde. Savourer les instants iodés. Et observer que quelques autres aussi les ont cherchés. Silence.
Puis reprendre le chemin à l'envers. Longer par un sentier plus proche de la mer. Voir le ciel et la mer mettre leurs habits du soir. Terminer la balade sur la grande plage déserte. Les vagues et leurs dentelles ne dansent rien que pour nous.
Les repères maritimes sont vraiment de bon goût.
Où lire Mel
Les phares de la mer d'Iroise, quels jolis repères. Il est bien ton sentier côtier on y musarderait volontiers ];-D
RépondreSupprimer"Le beau ressource l'âme et fait le grand ménage"... j'aime bien tes repères, Mel
RépondreSupprimerJ'ai fait la pause au pied des falaises, pris une bouffée d'air iodé et me voici prête à aborder la journée... Merci !
RépondreSupprimermerci pour vos commentaires Je suis retournée au bord de la mer cette semaine sur un autre sentier et c'était toujours aussi chouette !
RépondreSupprimerUn peu comme la balade le jour où j'ai pris ces deux photos sur l'île d'Yeu
RépondreSupprimerCette prose avance, s'arrête, contemple, pareille au rythme d'une randonnée sur le sentier des douaniers. Ce texte est une randonnée
RépondreSupprimerton texte est un voyage vers la mer (d'Iroise) et les amis, les falaises et l'océan ...
RépondreSupprimerPourquoi la mer d'Iroise ? hé non ce n'est pas elle.
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