Ça paraissait pourtant simple, non ?
Sur le tableau, un coup de chiffon...
Sur le sol nu, cette serpe, hier
laissée, à dessein, ronger son fer
coupe, en sous-main, trois ou quatre joncs
défriche
un problème, réputé fortiche
tu le connais, c'est ton seul oubli
l'aveu qui te mande ici
C'eût pu paraître simple, sans
la chorégie des reniements
orchestrée par cet Œuvre au Noir
saturé de signes - c'te foire !
à la rentrée des sentiments
confus
s'interrogeant sur leur vertu
n'ayant d'yeux que pour la maîtresse
Ç'aurait passé pour déguen
mais tu as levé la main
enfantin, le doigt dressé
les yeux droits sur la question
petit con !
Tu t'es ouvert au massacre
L'ombre est désormais ton sacre
C'était facile, allez !
Pourquoi me massacrer
- tu sais, à la sortie ?
C'était du tout cuit
cette fantaisie
pour un mot d'esprit
Vilain théorème
Pauvre fort en thème
Ça, tu fais tes classes !
Va, reste à ta place
avec les petits...
Esprit !Esprit, tu m'as trahi !
Tu m'as trahi et à quel prix !
Tu m'as trahi... Point ! Je te hais !
Tableau Noir, qu'as-tu réveillé ?
Détresse maîtresse...
Maîtresse ? Traîtresse...!
Où recompter ses craies (do ?)... Là...
ça sent la rentrée et son lot d'affrontements en tous genres, la hantise du tableau noir et... la maîtresse !
RépondreSupprimerBonne rentrée Tiniak ! Pas fâché de te revoir sur le banc
Ah les maîtresses... Petit elles m'ont torturé avec des 6 fois 7, des 9 fois 4... plus grand ce fut pire j'ai multiplié les déceptions !
RépondreSupprimerMais z'aussi - sûrement ! les révélations ;)
Supprimerhttps://www.youtube.com/playlist?list=PL-VDDFfKzYtDxv3Bp-na7NgKwQqoDHv2B
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