Unis vers sel
Comment qu’ ça
pue, ici !
Aérer ? Sans
façon !
Voyons plus
haut, plus vite !
Et quittons cet
endroit affligeant d'afflictions !
Giron
infrastellaire
Ris-tu de nos
affaires ?
Eh ! Tu vas,
solitaire…
Nous sommes ta
conscience
Il ferait bon chanter
notre interdépendance
Essemer au-delà
Rire de
forniquer pour narguer le trépas !
Plus haut que le grenier, m'en vais réfléchir à tout ça :)
RépondreSupprimerQuand tu redescends, pense à me rapporter ces super 8 où on jouait dans le jardin avec trois fois rien, parce que là... las, las, las ! ;) #tem, vieux complice ♥
Supprimer"Unis vers l'uni" : un grand titre de Jonasz :)
RépondreSupprimeron a tellement besoin d'universel à cette heure....
Ah que ouiche !
SupprimerEntre cave et grenier, une volée d'escaliers, un arrêt sur palier ? à la tienne un kirounet ?
RépondreSupprimerAu chablis ? ça marche !
SupprimerUne poésie...cosmique qui donne le tournis et se termine en beauté!
RépondreSupprimerDe bas en haut, quoi. C'était la consigne ;)
SupprimerCosmique et caustique.
RépondreSupprimerMon inspiration primale ? Jules Laforgue...
Supprimerhttp://www.paradis-des-albatros.fr/?poeme=laforgue/petite-priere-sans-pretentions
la cave et la morale de ton acrostiche font penser à "si je meurs je veux qu'on m'enterre, dans une cave où ya du bon vin", encore qu'on puisse pinailler sur la nécessité du "si"
RépondreSupprimerMmm... très profond tout ça, on sent bien que l'auteur dort avec les étoiles.
RépondreSupprimerOui, ça pue ici, en bas mais comment est-ce là-haut ? Rions en attendant la visite. Comme tu as raison tiniak ! ;-)
RépondreSupprimer@emma : Qu'un bon Vian te mène ! Merci ;)
RépondreSupprimer@JCP : ...dans les yeux, ouiche ! "Mais moi, quand je tiens, tiens.. (SOUCHON).
@Marité : Hélas... Mais rions plus fort !!