MOI
AUSSI ON M’AZNAVOURA AUX GÉMONIES !
De
la cave qui se rebiffe
Au
grenier qui se déballonne
Tout
va mal dans cette maison !
Sans
conversa-certa-tion,
Sans
concilia-vesti-bule,
Plus
moyen de tenir salon !
Où
est donc le bonheur-du-jour
Où
nous rangions tout notre amour
Et
nos recettes de cuisine ?
Il
n’y a plus grand monde au balcon,
La
chambre n’est plus horizon,
Autour
de nous le monde gronde,
L’huissier
chinois frappe à la porte !
Tu
t’laisses aller, tu t’laisses aller !
Marianne,
j’te l’dis, tu t’laisses aller !
... Pas étonnant, pauvre Marianne, ta devise ne cesse d'être bafouée.
RépondreSupprimerFaut déménager d'urgence, la Mamma n'a pas l'air très en forme!
RépondreSupprimerMarianne a jeté son bonnet phrygien par dessus le moulin de la galette... De la galette ? C'est ce qu'on veut ! ];-D
RépondreSupprimertrès jolie illustration poétique de nos temps troublés !
RépondreSupprimerGrogne, ô grenier
RépondreSupprimerInvective, ô cave
Lazzi en combles
Explose, ô cellier
Tempête, ô baraque !
Le grand salon du trouble social se tiendra en 2019... espérons un dénouement heureux.
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