Gouine
Il a dévalé la colline
Ses pieds faisaient rouler des pierres
Je venais de lui dire que j'étais gouine
J'ai ramassé son cœur à la serpillière
J'aurais pu encore faire semblant
Ouvrir les jambes avec des mots fuyants
Mais mon propre désert
Aurait bien fini par me trahir
Ma vie se doit d'être plus qu'une série de haut-le-cœur
Je veux dans mon lit des filles de toutes les couleurs
Je l'ai laissé partir le sexe à l'air
Alors que le pauvre espérait se satisfaire
Un aveu comme une pierre dans la chaussure... parfois difficile à "avaler" quand on dévale :)
RépondreSupprimerBienvenue aux Impromptus Littéraires, Mia Racine
Jaime bien quand on srt des sentiers battus.
RépondreSupprimerJoli coming-out et bienvenue !
RépondreSupprimer¸¸.•*¨*• ☆
Merci à vous! :)
RépondreSupprimerbienvenue chez nous, Mia Racine
RépondreSupprimeret ton texte me plait !!