~ Il a dévalé la colline
Ses pieds faisaient rouler des pierres
les bras grands ouverts
enfin pour lui ce coin de terre
ce vent fou chargé d'été
ce temps arrêté
ce ciel sans frontières
brûler épuiser
épouser un par un ces jours de lumière ..
Ses pieds faisaient rouler des pierres
les bras grands ouverts
enfin pour lui ce coin de terre
ce vent fou chargé d'été
ce temps arrêté
ce ciel sans frontières
brûler épuiser
épouser un par un ces jours de lumière ..
ta poésie est âpre, exigeante, magnifique, mais tu ne nous as pas habitués à des textes lumineux
RépondreSupprimercelui-ci en est un, rempli de l'espoir de cet homme
Merci Tisseuse, tellement !
SupprimerTon appréciation de mon écriture me touche. Surtout qu'aucun de mes proches ne s'intéresse à mon écriture. Le seul « feed back » que j'ai sur mon écriture, je le trouve ici, alors un gros merci Tisseuse, vraiment.
"Epouser un par un ces jours de lumière"
RépondreSupprimerWouaou !
¸¸.•*¨*• ☆
Contente que ça t'ait plu Célestine 'o)
SupprimerJ'ai adoré tu veux dire...
SupprimerImpressions d'un temps furtif...
RépondreSupprimerMerci Pascal pour ton mot !
SupprimerEst-ce ça l'Eldorado? Tes mots nous mettent l'eau à la bouche, Zoz
RépondreSupprimerCher Vegas, je ne sais pas si c'est un Eldorado mais c'est un bel élan en tout cas !
SupprimerÇa sent les vacances !
RépondreSupprimerj'aime te lire et ta poésie si personnelle et aussi universelle. En quelques mots tu dis tant de belles choses !
RépondreSupprimerAh ! cher Arpenteur... et pourtant on a l'impression que ça ne sert à rien... Ce n'est que du vent soufflé de mots jolis...
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