A l'ombre du figuier, je rêve, les yeux noyés dans l'azur du ciel.
Allongée sur un transat, j'ai laissé tomber mon livre, vaincue par la
chaleur de l'été grec.
Accolé à la maison perchée sur une colline, le jardin offre un aspect
un peu négligé, un peu sauvage : quelques citronniers de ci de là et
un gros bosquet de jasmin qui embaume merveilleusement le soir...
Un simple mur de pierres sèches sépare le petit jardin d'un terrain
vague. En bas la ville d'Athènes palpite.
Cet été là est très particulier : C'est la chute de la dictature des
colonels. Enfin l'espoir...
Allongée sur un transat, j'ai laissé tomber mon livre, vaincue par la
chaleur de l'été grec.
Accolé à la maison perchée sur une colline, le jardin offre un aspect
un peu négligé, un peu sauvage : quelques citronniers de ci de là et
un gros bosquet de jasmin qui embaume merveilleusement le soir...
Un simple mur de pierres sèches sépare le petit jardin d'un terrain
vague. En bas la ville d'Athènes palpite.
Cet été là est très particulier : C'est la chute de la dictature des
colonels. Enfin l'espoir...
A l'ombre du figuier, je suis heureuse.
effectivement, c'était un moment propice pour l'espoir
RépondreSupprimerLes Grecs sont tombés de Karibe en Scilla, grâce (à cause de) à l'Europe, mais que diable sont ils venus faire sur cette trière ?
RépondreSupprimer???
SupprimerC'est la fin d'un dur régime, alors pourquoi pas des antioxydants... des figues ?
RépondreSupprimerMieux vaut des antioxydants que des anti-occident... ;-)
RépondreSupprimer¸¸.•*¨*• ☆
La sérénité de ton texte va bien à la situation du moment, porteur d'espoir. Le rappel de cet été 1974 me touche particulièrement.
RépondreSupprimerMerci
Supprimerdominer Athènes dans un jardin parfumé est un vrai plaisir ... et puis la chute des colonels et la vie qui s'installe après, l'espoir et le bonheur ...
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