La lune dans le caniveau, c’est d’abord un film qui est d’abord un livre
C’est comme se demander qui de l’œuf ou de la poule est à l’origine
Dans les imaginations visuelles comme la mienne, l’image revient à ma mémoire
En premier alors que je suis à l’origine une littéraire qui lit des livres
De mots et d’images, de poésie et de cinéma, d’art et de littérature.
La lune dans le caniveau, c’est bien sûr Jean-Jacques Beineix qui adapte
Je n’ai pas de chanson ni de musique qui me vient comme pour 37,2 [1]le magique
Là, je revois faire l’amour Anglade et Béatrice Dalle la sulfureuse
Se déroule là alors dans mon imaginaire pêle-mêle la romane atmosphère
De Philippe Djian, les années 80, la découverte de la littérature contemporaine
Parallèlement au bac français, les fleurs du mal de Charles Baudelaire
La bande son de ces années : quelque chose de gai et de tragique : le sida arrive
La lune de Van Gogh chute dans le caniveau d’Arles avec un bout d’oreille
Elle ombre chez Caspar David Friedrich, l’homme et la femme, romantique
Et moderne comme les Tristesses de la lune baudelairiennes
Jean-François Millet place un parc de moutons dans un paysage sélénique
C’est comme se demander qui de l’œuf ou de la poule est à l’origine
Dans les imaginations visuelles comme la mienne, l’image revient à ma mémoire
En premier alors que je suis à l’origine une littéraire qui lit des livres
De mots et d’images, de poésie et de cinéma, d’art et de littérature.
La lune dans le caniveau, c’est bien sûr Jean-Jacques Beineix qui adapte
Je n’ai pas de chanson ni de musique qui me vient comme pour 37,2 [1]le magique
Là, je revois faire l’amour Anglade et Béatrice Dalle la sulfureuse
Se déroule là alors dans mon imaginaire pêle-mêle la romane atmosphère
De Philippe Djian, les années 80, la découverte de la littérature contemporaine
Parallèlement au bac français, les fleurs du mal de Charles Baudelaire
La bande son de ces années : quelque chose de gai et de tragique : le sida arrive
La lune de Van Gogh chute dans le caniveau d’Arles avec un bout d’oreille
Elle ombre chez Caspar David Friedrich, l’homme et la femme, romantique
Et moderne comme les Tristesses de la lune baudelairiennes
Jean-François Millet place un parc de moutons dans un paysage sélénique
[1] Le matin
La bande son des années 80, mes enfants étaient ados, souvenirs, souvenirs.
RépondreSupprimerAh...Baudelaire et Beineix dans le même poème !
RépondreSupprimerje suis aux anges !
¸¸.•*¨*• ☆
entre "la lune dans le caniveau" et "37,2 le matin" ces films là sont en effet à la fois magiques et réels ... et puis Baudelaire, mon héros poète :)
RépondreSupprimertu nous déroules ainsi toute une époque au travers de ces évocations !
RépondreSupprimer