Je me souviens de ce jour de grand vent sur l' ile de Batz, au siècle dernier en 19.. zut, m'en souviens point ( y en a marre de cet Al Zeimer, qui me guette chaque jours et me dit «oublie grand con, oublie ! » 8:)).
Le soleil brillait et les embruns exaltaient nos sens, à la jeune replète Annick et moi le maigrichon, nous étions biens jeunes, plein d'entrain pour les choses de la vie et avions quelque-peu fuguer afin de nous retrouver chez une tente canadienne de 2m30 sur 1m5O qui nous hébergeait gentiment.
Un gros rocher du nom de Ker ar Bleiz et son pote improbable le figuier nous faisaient une hombre propice et nous protégeaient de ce satané Avel.
Ah Diar ! J'avais perdu mon couteau pour couper le sauciflard, un piquet s'en alla dans un autre pays (le sheitan ) et le matelas pneumatique était crevé, ça commençait mal.
A ce moment là, Annick me prit la tête entre ses deux douces mains et me dit – N'eo ket strikt ( c'est pas grave ) et d'un coup je déstressais complètement.
La suite ne vous regarde absolument pas mais je peux vous dire que ce fut vraiment très bien et que pour nous deux c'était la toute première fois.
Par la suite, je retrouvais mon chlasse et fit l'important en découpant le pemoc'h.
Mes yeux ne quittaient plus ceux d'Annick et le satané Avel avait beau encore et toujours faire des siennes, le soleil brillait encore plus et le rocher du loup et le figuier nous protégeaient encore et encore.
AH AH AH, pour le mots bretons que vous n'avez pas compris... débrouillez vous ! ;o)
Le soleil brillait et les embruns exaltaient nos sens, à la jeune replète Annick et moi le maigrichon, nous étions biens jeunes, plein d'entrain pour les choses de la vie et avions quelque-peu fuguer afin de nous retrouver chez une tente canadienne de 2m30 sur 1m5O qui nous hébergeait gentiment.
Un gros rocher du nom de Ker ar Bleiz et son pote improbable le figuier nous faisaient une hombre propice et nous protégeaient de ce satané Avel.
Ah Diar ! J'avais perdu mon couteau pour couper le sauciflard, un piquet s'en alla dans un autre pays (le sheitan ) et le matelas pneumatique était crevé, ça commençait mal.
A ce moment là, Annick me prit la tête entre ses deux douces mains et me dit – N'eo ket strikt ( c'est pas grave ) et d'un coup je déstressais complètement.
La suite ne vous regarde absolument pas mais je peux vous dire que ce fut vraiment très bien et que pour nous deux c'était la toute première fois.
Par la suite, je retrouvais mon chlasse et fit l'important en découpant le pemoc'h.
Mes yeux ne quittaient plus ceux d'Annick et le satané Avel avait beau encore et toujours faire des siennes, le soleil brillait encore plus et le rocher du loup et le figuier nous protégeaient encore et encore.
AH AH AH, pour le mots bretons que vous n'avez pas compris... débrouillez vous ! ;o)
As tu chanté haut et fort afin de glorifier tes exploits, le "BRO GOZ MA ZADOU" ? Face au rocher "Gorlebella" sous l'œil unique et bienveillant de La Vieille ?
RépondreSupprimerBah... Breiz n'est pas vraiment ma bro, ch'ui plutôt galleg et le phare de la vieille j'ai biensure été le voir tout bihan avec mam goz de St Thégonnec et l'oncle Louis de Brest. ;o)
SupprimerDans ce genre d'histoire, pas besoin de traduction...c'est comme en amour, on parle avec les mains.
RépondreSupprimerJolie ta première fois, Stouf. Elle a le goût des embruns et du varech.
¸¸.•*¨*• ☆
stouf dragueur ;o)
SupprimerHolaaa chère Célestine, tu m'intéresses ! Serais tu masseuse ?
Bien sûr ! il paraît que je masse très bien, d'ailleurs !
SupprimerQuand on perd son couteau on ne peut compter que sur soi :)
RépondreSupprimerstouf qu'a fait son service militaire
SupprimerJe vois que j'ai ici affaire à un homme qui sait de quoi on cause entre hommes ! ;o)
stouf qui se souvient du son et de l'odeur
RépondreSupprimerAh corre... j'aurais du mettre cette vidéo là dans le texte.
"Jamais de la vie
RépondreSupprimerOn ne l'oubliera
La première fille
Qu'on a pris dans ces bras"
chantait le grand Georges... Cette chanson m'est venue à l'esprit en lisant ton texte.
stouf anar qu'aime bien les chanteurs anars
RépondreSupprimerEt la dernière, la femme de sa vie (Joha Heiman Püppchen) qui lui inspira, entre autre, la chanson où il parle de se faire tout petit devant une poupé (je crois qu'en allemand Püppchen voudrait dire jolie poupé mais j'en suis pas certain). ;o)
le premier amour fort bien raconté
RépondreSupprimeret puis perdre son couteau peut tout changer dans la vie et l'aventure :o))
stouf voyageur aventurier
SupprimerBien dit l'Arpenteur, figure toi qu'un jour au LAOS dans la jungle v'la pas une araignée géante qui me regarde droit dans les yeux (à 50 centimêtres à peu prés) et... ;o)
stouf qui continue
Supprimery a une mouette perchée sur le rocher qui me fait "mouette mouette !" et je comprend trés bien le language mouette.
D'un seul coup je demande à Annick si un tour dans mon Yachtdeluxe-cayak-de-mer la tente,vu que c'est un deux places. Elle me dit qu'elle a unpeu peur mais qu'elle aime cela.
Boon... on se casse vite fait et tout en pagayant de droite et de gauche comme un ouf, je mate à l'arrière et vois les trois gendarmes qui nous regardent partir au loin. Ouf !
Au bout d'une heure nous sommes en vue des côtes angloises (comment ça c'est impossible techniquement ?) et mon ami John Lennon est justement entrain de ramasser des crustacés dans les rochers (à Bath).
-Hello John ! Dis-je.
-Hello stouf, who's that charming girl (qui est cette belle fille) ?
-C'est Annick, elle fait ma vie vie meilleur !
-Well ! Dit-il, I will do a song for her but his name will be Jude (je vais faire une chanson mais son nom sera Jude).
-Oh, ta gueule !
Du coup Annick semble quelque peut disturbe par la tension athmosphérique et prend la pagaie et rame de droite et de gauche. J' l'adore.
Une autre plage unpeu plus loin, au dessus dans la colline il y a un chalet en bois et... par la fenêtre de la salle de bain Annick me voit.
-stouf ! Me dit-elle, c'est qui la minette avec un cheveu blanc dans la salle de bain là-haut,t'es tout nu en plus !
-Hein, quoi ? Mais enfin, premier amour de ma vie, mais je suis là dans le cayack avec toi.
-Oh ta gueule ! me dit Annick, qui disparait tout à coup.
En définitif... fait iech les meufs et ch'uis pas psy pour rien. ;o)