Tandis
que le silence tombait
Du
plus haut soleil
Tu
somnolais
À
l'ombre du figuier
Tu
ne savais que faire
Des
souvenirs qui turbulaient
Sur
la chaux d'ardente lumière
Pour
ne pas désespérer de ta solitude
Inlassablement
Tu
parlais bas
Et
les mots sur tes lèvres
Étaient
odes patientes
Offertes
à la mer
Toute une ambiance chaude et tendre en peu de mots terriblement bien choisis.
RépondreSupprimerbravo.
¸¸.•*¨*• ☆
Des vers éblouissants dans le silence
RépondreSupprimerSi l'ombre est propice aux messes basses, ton poème est porteur d'espoir
RépondreSupprimerbeaucoup de paix dans ces quelques vers...
RépondreSupprimerheureuse de te relire ici, Lira :)
heureux aussi de te relire chez nous, Lira et ce poème court et dense et extrêmement poétique m'a enchanté !
RépondreSupprimerLa mer et l'arbre, s'en remettre à la nature, j'aime.
RépondreSupprimerMerci à vous pour vos commentaires très sympathiques.
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