La lune sous le bras
En écharpe serrée
Comme une attelle en bois
J’avais remisé
Toutes mes pensées
Dans son tissu tressé
De rêves et de folles idées
Je me sentais
Voleur de nuit
Retenant la vie qui fuit
En secret
Mais la lune a roulé
Dans ce caniveau insensé
Et la vie a trébuché
Me laissant désemparée
Si je tenais celui qui a fait la lune ronde...
RépondreSupprimerEntre Lune de miel et Lune de fiel..
RépondreSupprimerIl n'y a qu'une consonne !
C'est un très joli texte, très poétique, Tisseuse, j'aime beaucoup.
RépondreSupprimerBon j'aime aussi beaucoup les commentaires des deux compères là, au-dessus... ;-)
¸¸.•*¨*• ☆
Magnifique instant poétique. Merci.
RépondreSupprimerSuperbe lune tissée par tes soins.
RépondreSupprimersi la lune se casse et que la vie trébuche, la suite devient compliquée.
RépondreSupprimerMais ta poésie est toujours là !
Voleur de nuit,
RépondreSupprimerdis-tu ?
Mais si la lune ne luit
comment veux-tu
ne pas tomber dans le caniveau
comme un malheureux poivrot ?
merci à vous tous !
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