Elle posa son doigt sur l’interrupteur et les livre se firent lumières dans son paysage.
Dans le paysage de sa chambre, Le temps est assassin[1] lorsque le sommeil l’emporte
Sur la lecture et relègue les nouveautés policières empruntées à la médiathèque
A plus tard sans parler des polars en poche qui dorment dans le couloir en attendant
Que d’un baiser de lectrice, elle les réveille d’un sommeil meurtrier.
Dans le paysage du salon, attendent tous les livres commencés avec fougue dès leur arrivée
Dans la maison puis détrônés par un autre débuté ou terminé et stockés sur quelques Rayonnages qui se remplissent encore et encore par gourmandise et manque de temps Pour lire tous ce qui lui a fait envie un moment ou un autre mais ce n’est pas un Purgatoire Juste la salle d’attente avant le plaisir amplifié car promis par une première bouchée exquise.
Il y a Le musée de mes rêves[2], offert après une troisième place à la dictée de la fête du livre.
Des Paysages contemporains[3] voisinent avec des Fables de paysage flamand[4], acheté à la Sortie d’une merveilleuse exposition vue au Palais des Beaux-arts-magnifique- de Lille, L’inoubliable. Il y a encore La grande parade. Portrait de l'artiste en clown[5] acheté à la sortie du Musée Fernand Léger de Biot avant de retourner sous la pluie.
Au retour de Paris vers la Toussaint, elle a commencé L'Impressionnisme et le paysage français[6] avec le même enthousiasme que pour tous les autres invités installés dans son Paysage de Salon.
Dans le paysage de sa chambre, Le temps est assassin[1] lorsque le sommeil l’emporte
Sur la lecture et relègue les nouveautés policières empruntées à la médiathèque
A plus tard sans parler des polars en poche qui dorment dans le couloir en attendant
Que d’un baiser de lectrice, elle les réveille d’un sommeil meurtrier.
Dans le paysage du salon, attendent tous les livres commencés avec fougue dès leur arrivée
Dans la maison puis détrônés par un autre débuté ou terminé et stockés sur quelques Rayonnages qui se remplissent encore et encore par gourmandise et manque de temps Pour lire tous ce qui lui a fait envie un moment ou un autre mais ce n’est pas un Purgatoire Juste la salle d’attente avant le plaisir amplifié car promis par une première bouchée exquise.
Il y a Le musée de mes rêves[2], offert après une troisième place à la dictée de la fête du livre.
Des Paysages contemporains[3] voisinent avec des Fables de paysage flamand[4], acheté à la Sortie d’une merveilleuse exposition vue au Palais des Beaux-arts-magnifique- de Lille, L’inoubliable. Il y a encore La grande parade. Portrait de l'artiste en clown[5] acheté à la sortie du Musée Fernand Léger de Biot avant de retourner sous la pluie.
Au retour de Paris vers la Toussaint, elle a commencé L'Impressionnisme et le paysage français[6] avec le même enthousiasme que pour tous les autres invités installés dans son Paysage de Salon.
Dans un autre quartier du paysage de sa bibliothèque de salon, il y a encore la cohorte
Des livres à lire toujours d’urgence, achetés avec fièvre ou empruntés et à rendre demain
A la médiathèque : des best-sellers que tout le monde attend ou des titres intimes
Comme le Journal d’Anaïs NIN
Elle posa son doigt sur l’interrupteur et les livres se firent lumières dans son paysage.
Des livres à lire toujours d’urgence, achetés avec fièvre ou empruntés et à rendre demain
A la médiathèque : des best-sellers que tout le monde attend ou des titres intimes
Comme le Journal d’Anaïs NIN
Elle posa son doigt sur l’interrupteur et les livres se firent lumières dans son paysage.
stouf qui devenait misanthrope
RépondreSupprimerUn jour,lorsque les livres du dessus (ceux qui atteignaient le plafond et ne se sentaient plus à l'aise) me sautèrent dessus pour me manger dans un rêve, je fis au matin un grand feu dans le jardin et les brûlait tous (je venais de lire "Les combustibles" d'Amélie Nothomb et j'avais froid de vivre).
Maintenant ? Cela va mieu et... tu devrais essayer.
L'interrupteur à promotion est une astucieuse invention :)
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