Négligemment allongé,
Un murmure feuillu, me berçait
Mon nez, par un parfum, taquiné
Odeur indéfinissable du figuier.
Un murmure feuillu, me berçait
Mon nez, par un parfum, taquiné
Odeur indéfinissable du figuier.
Paupières mi-closes,
Mon corps à la pause,
Une parfaite symbiose,
Que cette nature propose.
Pensées alanguies,
Sens assoupis,
Me voilà soudain surpris.
Un insecte malappris
Se croyant tout permis,
Mon espace envahit.
Ma douce torpeur dérangée,
Moult gestes dus déployer,
Afin, l'importun, chasser.
Combat, cet animal ailé,
Je l'aurais bien évité,
Si, ce dernier, de me piquer
Velléités, n'avait montrées.
Une journée malmenée,
De bien finir, se devait.
Au figuier ombragé
Quelques fruits, je goûtais.
Sitôt, un air bien connu,
Mon ouïe reconnut.
Ainsi, était revenu
Le diptère malotru.
Un oiseau passa,
Le moustique avala,
Et néanmoins picora,
Une figue, qui, sur moi, tomba.
Ma sieste était fichue.
Heureusement, presque nu,
Vers un autre abri courus.
Rencontrais une inconnue.
Elle s'était perdue,
N'insista pas sur ma tenue incongrue.
Plus tard, la retrouvais,
A ma place, installée.
Mon corps à la pause,
Une parfaite symbiose,
Que cette nature propose.
Pensées alanguies,
Sens assoupis,
Me voilà soudain surpris.
Un insecte malappris
Se croyant tout permis,
Mon espace envahit.
Ma douce torpeur dérangée,
Moult gestes dus déployer,
Afin, l'importun, chasser.
Combat, cet animal ailé,
Je l'aurais bien évité,
Si, ce dernier, de me piquer
Velléités, n'avait montrées.
Une journée malmenée,
De bien finir, se devait.
Au figuier ombragé
Quelques fruits, je goûtais.
Sitôt, un air bien connu,
Mon ouïe reconnut.
Ainsi, était revenu
Le diptère malotru.
Un oiseau passa,
Le moustique avala,
Et néanmoins picora,
Une figue, qui, sur moi, tomba.
Ma sieste était fichue.
Heureusement, presque nu,
Vers un autre abri courus.
Rencontrais une inconnue.
Elle s'était perdue,
N'insista pas sur ma tenue incongrue.
Plus tard, la retrouvais,
A ma place, installée.
M'invita gentiment, son figuier,
Et son ombre partager.
Elle était parfumée,
Fragrance poivrée,
Sa bouche, sans y penser,
Une figue mordait
La maquillant de violet.
Elle me la fit goûter.
Où lire Jacou
Et son ombre partager.
Elle était parfumée,
Fragrance poivrée,
Sa bouche, sans y penser,
Une figue mordait
La maquillant de violet.
Elle me la fit goûter.
Où lire Jacou
Cupidon déguisé en moustique... il fallait y penser!
RépondreSupprimerSi vous vous êtes retrouvés nus dans ma soirée, c'est que vous êtes tombés dans le cauchemar de Stouf... ;-)
RépondreSupprimer¸¸.•*¨*• ☆
le moustique est joueur et l'aventure s'est jouée ...
RépondreSupprimerj'aime bien ton style !