La tectonique des tablettes
Insidieuse
saveur, enthousiasme infini,
Tous
ses doigts entachés et tablette finie,
Seul
le papier d’alu, qu’elle roule et déroule,
Reste
du chocolat, incomestible boule.
Et
déjà monte en elle, indicibles aigreurs,
Le
symptôme hépatique ; elle sait son malheur
Et
connaît ses faiblesses : pas plus de trois tablettes,
Ou
c’est la maladie qui la tient aux toilettes.
Elle
le sait pourtant, le chocolat chez soi
C’est
se vouloir du mal, l’abîme devant soi ;
Elle
avait tout jeté, et voilà qu’on lui offre,
Impossibles
amants, de quoi s’emplir le coffre !
-
Le plaisir maintenant, la douleur au tournant,
L’amour
le chocolat, on le voit sont complices :
Souffrance
de l’absence ou le foie qui se plisse* ;
C’est
dit jusqu’à demain, je n’aurai plus d’amant !
*
Ça fait très mal.
à haute dose cela peut devenir un poison, certes, mais raisonnablement c'est si bon, et source de magnésium !
RépondreSupprimerIls vont peut-être solder les surplus d'œufs, cloches et lapins, c'est le moment de se fournir !
SupprimerBon, ben je repasserai, avec la chanson de Jacques Brel ! Au moins ça ne remplit que les oreilles !
RépondreSupprimerhttps://youtu.be/LWPl5hDjhoo
Plus périssable que les bonbons mais moins que les fleurs est le chocolat.
SupprimerEt puis y'a pas d'mal à se faire du bien... La preuve : https://youtu.be/bKeLX1AztZg
RépondreSupprimerLanvin qui rend fou, je l'avais oubliée cette pub de Dali !
Supprimer(Un de mes peintre préférés, sa collection de Cadaquès et surtout de Figueras vaut le déplacement)!
J'adore le titre !!
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