Quand, les deux yeux fermés, en un soir chaud d'automne
Je déciderai de partir enfin
Il n’y aura aucune récrimination, aucune fausse note
Ce sera l’apaisement, la fin
La fin de cette errance d’homme
De ces jours sans lendemain
La fin de ces pleurs monologues
Ce sera l’apaisement, enfin
Quand, les deux yeux fermés, en un soir d’automne
Je m’éteindrai sur le chemin
Il n’y aura plus que le souffle du vent d’automne
Pour me murmurer le refrain
De cette chanson monotone
Chanson sans lendemain
Berçant mon âme épuisée d’homme
Et ce fantasme, de vie, vain ...
Je déciderai de partir enfin
Il n’y aura aucune récrimination, aucune fausse note
Ce sera l’apaisement, la fin
La fin de cette errance d’homme
De ces jours sans lendemain
La fin de ces pleurs monologues
Ce sera l’apaisement, enfin
Quand, les deux yeux fermés, en un soir d’automne
Je m’éteindrai sur le chemin
Il n’y aura plus que le souffle du vent d’automne
Pour me murmurer le refrain
De cette chanson monotone
Chanson sans lendemain
Berçant mon âme épuisée d’homme
Et ce fantasme, de vie, vain ...
À te lire une vraie tristesse l'étreinte. C'est fort
RépondreSupprimerMerci,
SupprimerLa phrase de départ m'a inspirée... Ma main a fait le reste...
c'est vrai que ton texte est triste et poignant, mais la poésie est là et emporte tout ...
RépondreSupprimerOui la poésie emporte tout, tout est là...
Supprimer:-)
Vous avez donné une dimension profonde à ce vers de Beaudelaire, merci de l'avoir écrit pour nous.
RépondreSupprimerJe vais vous paraitre étrange mais je ne me souviens pas de Beaudelaire... J'ai effacé son passage dans ma mémoire... Je ne pense pas donner une profondeur à de tels maitres... J'ai laissé les mots entrer et mes mains ont fait le reste...
SupprimerMerci de vos encouragements.
Excusez mon BEAUdelaire, quelle erreur, désolée !
RépondreSupprimerhumain tout simplement
RépondreSupprimercela me touche profondément
Sourire... L'écrit n'est pas l'auteur... Je ne suis pas humain... Je jongle avec les mots, étonné moi-même que cela marche...
Supprimer;-)
Oui, il y a de tels moments, Kakou shiken, où s'étendre à jamais sur le chemin serait la plus miséricordieuse des finales. L'automne possède cette faveur particulière. Et pourtant , le lendemain nous trouve prêt à vivre, un jour de plus, et encore un jour et encore...
RépondreSupprimertriste et beau comme dans un vers de Baudelaire
RépondreSupprimerEuh, monsieur... ? Monsieur ?
RépondreSupprimerJe crois que vous avez un pneu crevé à l'arrière. Non ? Ah, bah, c'est moi, alors.
Hein ? Du... ? Spleen ? Connais pas. On trouve ça où ?
Hin hin