Après avoir pris au pied de la lettre toutes les expressions possibles, nous nous rendons compte que nous sommes réellement en automne.
C'est pour quoi nous vous proposons, à l'égal de Charles Baudelaire dans son poème "Parfum exotique" de débuter obligatoirement votre texte par l'incipit suivant : "Quand, les deux yeux fermés, en un soir chaud d’automne,"
En prose ou en vers, votre texte devra nous parvenir à l'adresse habituelle impromptuslitteraires[at]gmail.com avant dimanche 9 octobre.
En prose ou en vers, votre texte devra nous parvenir à l'adresse habituelle impromptuslitteraires[at]gmail.com avant dimanche 9 octobre.
Pourquoi préciser les "deux" yeux fermés, Charles ? Ça me dérange. Parce qu'il te manque un pied ? Il est rare qu'on ne ferme qu'un seul œil, surtout les soirs chauds d'automne qui n'invitent pas à la gaudriole, ou pour faire le test de la DMLA…
RépondreSupprimer"si moi je suis barge, ce n'est que de tes yeux, car ils ont l'avantage d'être deux" (Renaud)…
Hélas, Emma, je ne saurais que te dire, puisque je ne suis point Charles...
SupprimerMais tu as entièrement le droit bien entendu d'être dérangé par la licence du poète qui en prend à son aise avec les yeux... et avec les pieds bien entendu :)