A la croisée des chemins, la règle est la priorité à droite, c’est écrit dans le code des chemins
La priorité à droite s’efface devant un “stop” ou un “cédez le passage”, confiance à l’humain
Attention et respect sont de mise mais les portables ont pris place dans nos cerveaux et mains
Croiser les chemins, les autres, c’est du pareil au même, pas d’empathie, juste être urbain
Répéter que ma liberté finit où commence celle des autres, et avec nos envies et besoins
Osons le respect de l’autre, le voisin de chemin, ‘immeuble, de transport en commun
Il est vain de parler d’amour si on ne sait pas s’arrêter simplement à la croisée des chemins
S’arrêter et laisser passer l’autre surtout si c’est son droit, c’est un devoir d’être humain
Etre moral comme on nous l’apprenait à la primaire: bonjour, merci, sourire même lointain
Etre souriant par politesse: s’il vous plait, au revoir des codes qui aident les citadins
Dans les carrefours, les intersections mais aussi les ruraux à la croisée des chemins
Etre urbain même à la campagne, à la mer, en forêt ou à la montagne, passer la main
Sourire dans les files d’attente, mettre le portable en sourdine, ne pas infliger son quotidien
Chemins des villes ou des champs, code civil ou humain, pour que le pénal passe son chemin
Habiter le paysage urbain ou naturel comme un passant passionné par un nouveau matin
Etre vivant, vivace mais silencieux, discret en public, ne pas gêner l’autre sur son chemin
Mains propres, pas besoin de recommandation du ministère, c’était dans mon livre d’humain
Il était « moral », pas de grands mots mais des règles de vie en société, pour hier et demain
Ne dénigrons pas le passé, ne décourageons pas l’avenir, vivons seulement ce joli matin
Souriant, sous un soleil noir, poliment gai, gardons nos excès pour nos intimes festins !
La priorité à droite s’efface devant un “stop” ou un “cédez le passage”, confiance à l’humain
Attention et respect sont de mise mais les portables ont pris place dans nos cerveaux et mains
Croiser les chemins, les autres, c’est du pareil au même, pas d’empathie, juste être urbain
Répéter que ma liberté finit où commence celle des autres, et avec nos envies et besoins
Osons le respect de l’autre, le voisin de chemin, ‘immeuble, de transport en commun
Il est vain de parler d’amour si on ne sait pas s’arrêter simplement à la croisée des chemins
S’arrêter et laisser passer l’autre surtout si c’est son droit, c’est un devoir d’être humain
Etre moral comme on nous l’apprenait à la primaire: bonjour, merci, sourire même lointain
Etre souriant par politesse: s’il vous plait, au revoir des codes qui aident les citadins
Dans les carrefours, les intersections mais aussi les ruraux à la croisée des chemins
Etre urbain même à la campagne, à la mer, en forêt ou à la montagne, passer la main
Sourire dans les files d’attente, mettre le portable en sourdine, ne pas infliger son quotidien
Chemins des villes ou des champs, code civil ou humain, pour que le pénal passe son chemin
Habiter le paysage urbain ou naturel comme un passant passionné par un nouveau matin
Etre vivant, vivace mais silencieux, discret en public, ne pas gêner l’autre sur son chemin
Mains propres, pas besoin de recommandation du ministère, c’était dans mon livre d’humain
Il était « moral », pas de grands mots mais des règles de vie en société, pour hier et demain
Ne dénigrons pas le passé, ne décourageons pas l’avenir, vivons seulement ce joli matin
Souriant, sous un soleil noir, poliment gai, gardons nos excès pour nos intimes festins !
Rimes riches
RépondreSupprimeret acrostiche
beau boulot !
¸¸.•*¨*• ☆
Je venais de la gauche (sans aucune connotation) alors j'ai laissé passer et pris bien du plaisir à lire cet acrostiche :)
RépondreSupprimerVoilà un travail de signalisation superbe... bravo !
RépondreSupprimerJe connais 2 ou 3 personnes à qui je devrais lire votre texte... Il coule comme une source et rappelle qu'il est parfois bien de marcher dans les clous.
RépondreSupprimerPour le respect de chacun.
Célestine: j'ai écrit un recueil d'Acrostiche et un de Bouts rimés, parfois les 2 se combinent
RépondreSupprimerMinsky: un coup de gueule que j'ai mis en forme contre l'irrespect ambiant
Merci à tous les 4
stouf (en sens inverse)
RépondreSupprimerEtre un visible,bien règlé,céder le passage,un limes romain ou...sisyphéen,ne se laissant point berné par les autocrates épistolier de chez carrefour.
Un joli cours d'éducation civique, qui rime avec le savoir vivre !
RépondreSupprimerbel acrostiche et rimes riches.
RépondreSupprimerJ'aime ... et quant à moi dans les croisements je rêve souvent d'aller où je ne dois pas aller :)
Beau boulot !
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