En ce temps là ma belle Christine et moi passions souvent quelques mois de vacances en Engleterre, dans le Somerset plus exactement. Les bains chauds de Bath ravissaient nos globules vasculaires, Brighton n'était pas loin et puis le festival d'été de Stonhenge ou l'ile de Wight (nous y prîmes un pied géniale en 197O, en compagnie de Jimi H,Jim M et les 6OO OOO autres).
Betty,l'ancienne « petite amie » de ma Christine, nous prêtait un joli chalet dans les collines où nous avions vue sur la mer. Le market avec des patates et choux-fleurs naturels (bio en nouveau french), nous ne mangions déjà plus de viande mais oui pour les oeufs. Et puis le pub de « chez Marcel », un exilé français qu'un certain fisc cherchait en vain à localiser, de mémorables bitures et un p'tit join pour avoir la pêche et monter jusqu'à le chalet tout là haut dans la colline.
Et puis un jour, ce matin là trois cheveux blancs...
J'entrais nu dans la salle de bain (bath in english) et mon cœur faillit s'arrêter de battre, Christine commençait à sangloter (j'aime pas lorsqu'elle fait snif et qu'une larme coule sur sa joue gauche).
- Christine, lui demandais-je, mais que ce passe t-il donc ?
- Regarde dear my love, there are three white hair !
- Ou ça ?
- On my comb.
- Ah merdre, chérie mets tes lunettes, c'est pas ton peigne mais celui de Clara qu'est venue dormir au chalet il y a trois jours.
- Shit mais c'est bien vrai, comme je suis heureuse mon amour.
- Oh lala les meufs, me dis-je en moi-même.
J'entrais nu dans la salle de bain (bath in english) et mon cœur faillit s'arrêter de battre, Christine commençait à sangloter (j'aime pas lorsqu'elle fait snif et qu'une larme coule sur sa joue gauche).
- Christine, lui demandais-je, mais que ce passe t-il donc ?
- Regarde dear my love, there are three white hair !
- Ou ça ?
- On my comb.
- Ah merdre, chérie mets tes lunettes, c'est pas ton peigne mais celui de Clara qu'est venue dormir au chalet il y a trois jours.
- Shit mais c'est bien vrai, comme je suis heureuse mon amour.
- Oh lala les meufs, me dis-je en moi-même.
C'aurait pu être aussi la caravane de la célèbre Suzanne... Mais ça c'est aux Etats-Unis, avec Leonard Cohen o;)))
RépondreSupprimerstouf mélancolique
SupprimerAh Suzanne...qu'est ce que j'aurais voulu voyager avec elle prés de la rivière et boire son thé,manger ses oranges qui venaint toujours de Chine !!!
chez Somerset Maugham ? ... des anglaises vegan, join et whisky ... que du bonheur en fait :o)
RépondreSupprimerbon, ensuite, utiliser le peigne d'une amie (ou une subtilité de l'amoureux) c'est cool ...
stouf déconneur
SupprimerDis donc l'arpenteur,t'était pas le dernier pour tout cela au mois de Septembre au parc de la villette. Quel pied hein ? :o)))
http://www.lesinrocks.com/2016/09/15/musique/smmmile-festival-veganisme-coeur-de-pop-culture-11864362/
SupprimerDélicieusement british...
RépondreSupprimer¸¸.•*¨*• ☆
sir stouf
RépondreSupprimerSo British in fact... on se croirait dans une pub pour le thé Lipton. Ah ben tien,justement c'est l'heure. Where is my flying teapot ? ;o)
A mon avis, l'effet des substances illicites (ou oinj :-)), était encore very high, ce qui explique la méprise de Christine.
RépondreSupprimerL'erreur est humaine. Nobody's perfect! :-)
stouf in love
RépondreSupprimerEh Minsky tu me rapelles ma grand mère qui prisait le tabac aprés un verre de Cherry,is not it ?
It is not.
RépondreSupprimer0/3! Ni grand-mère, ni Cherry, ni tabac.
On en revient toujours au même avec ce thème: ne restent que les substances illicites :-)).
Mais ta grand-mère devait être very charming.