Le pantalon de monsieur Paul
Monsieur Paul arpentait sereinement la rue des étoiles, une charmante rue de style moyenâgeuse du quartier de la ville où il vivait depuis si longtemps. Le soleil ravissait les globules de sa peau, réchauffait ses vieux os et faisait resplendir les nombreuses rides de son visage qui plaisait tant aux femmes. Dans sa jeunesse, monsieur Paul était ce que l'on appelle encore un « tombeur ».
Il allait chercher sa baguette de pain du matin et … tiens, aujourd'hui les gens riaient dans la rue, une mère cacha les yeux d'une petite fille, une autre dame se fit un signe de croix en le regardant fixement de façon réprobatrice.
Le cerveau de monsieur Paul tira le signal d'alarme, quelque-chose ne tournait pas rond.
C'était vrai qu'il faisait légèrement frisquet au niveau de l'entre-jambe de monsieur Paul … comment cela, ah zut, quelle horreur ! Le pantalon de Paul avait disparu.
Paul lâcha son cabas et mit ses deux mains au niveau de son slip « Petits bateaux », il voulut courir de l'avant mais reculait, le sol se déroba sous lui, des milliers de gens se moquaient maintenant de lui, Jean Pierre Pernod des infos disait que c'était une honte pour la France et ...
- Chéri, réveille-toi, tu sues comme un porc, tu marmonnes débilement dans ton sommeil, réveille-toi de ton cauchemar !
- Hein quoi, naaan pas la police ! Ah c'est toi mon amour, rendors-toi je vais aller boire une tisane et je ne t'embêterai plus. :o)
Il allait chercher sa baguette de pain du matin et … tiens, aujourd'hui les gens riaient dans la rue, une mère cacha les yeux d'une petite fille, une autre dame se fit un signe de croix en le regardant fixement de façon réprobatrice.
Le cerveau de monsieur Paul tira le signal d'alarme, quelque-chose ne tournait pas rond.
C'était vrai qu'il faisait légèrement frisquet au niveau de l'entre-jambe de monsieur Paul … comment cela, ah zut, quelle horreur ! Le pantalon de Paul avait disparu.
Paul lâcha son cabas et mit ses deux mains au niveau de son slip « Petits bateaux », il voulut courir de l'avant mais reculait, le sol se déroba sous lui, des milliers de gens se moquaient maintenant de lui, Jean Pierre Pernod des infos disait que c'était une honte pour la France et ...
- Chéri, réveille-toi, tu sues comme un porc, tu marmonnes débilement dans ton sommeil, réveille-toi de ton cauchemar !
- Hein quoi, naaan pas la police ! Ah c'est toi mon amour, rendors-toi je vais aller boire une tisane et je ne t'embêterai plus. :o)
Un vieux souvenir de sa première communion, sûrement ... ;-)
RépondreSupprimer¸¸.•*¨*• ☆
stouf
SupprimerDe Nantes à Montaigu on m'appelle Paupaul , la digueeuu la digue ! ;o)
Paul sans pantalon ? Et Madame en n'a pas profité ?
RépondreSupprimerstouf
SupprimerPeut-être sortait-elle juste d' un rêve sur une ile paradisiaque en compagnie d' un jeune maître nageur musclé et plein de vigueur ? ;o)
les rêves sont toujours étonnants ... et toujours drôles !!
RépondreSupprimeret puis boire une tisane sans pantalon, la nuit, ça ne dérange personne :o)
stouf
SupprimerMême pas le chat et le chien qui ronflaient peinards sur le sofa du salon ?
Dis-donc Stouf, ce Paul là n'était pas Bébel parce que pour que JP Pernod s'en mêle...
RépondreSupprimerstouf
RépondreSupprimerDis donc Marité, je pense à un truc... tu fais quoi ces jours ci ? Un p' tit week-end à Zuydcoote en compagnie de l 'animale morfalou incorrigible ou une tribulation en chine, voire un holdup avec un singe en hiver, ça te dit ? ;o)
Oh, cher Pierrot le Fou, c'est la scoumoune : je suis à bout de souffle. Que veux-tu, une femme est une femme !
RépondreSupprimerIl habite à l'hôtel des courants d'air ton Paul ?
RépondreSupprimerstouf
SupprimerNan, celui d' à coté, dans la rue "écoute s' il pleut".
stouf
RépondreSupprimerLe pantalon de Paul rêvassait tranquillement et fumait dans le gel quelque odeur exquise au soleil de minuit de cette non-nuit aux oraures boréales de Finlande . Il s' ennuyait sec à vrai dire et pensa tailler le bout de gras avec les soeurs épingles qui étaient en repos ce jour-depuis-trois-mois sur le même fil.
-Eh les frangines, on se les cailles non ?
-Nous restons de bois, répondit celle qui semblait la plus rêche.
Pff... même pas drôle les batônnes. Le pantalon de Paul pensa alors tailler une bavette avec le couple chausette. On ne le sait pas assez mais chaussette est un nom de famille qui comporte des mâles et des femmelles.
-Alors m' sieurs dames, ça gaze ?
-Oui ben, en parlant de gaz... qu'est-ce qu' il pue des pieds monsieur Paul ! affirma d'heureux chef madame chaussette.
-Ca c'est ben vrai ! rajouta le père Denis chaussette.
Le pantalon de Paul trouva ce couple fort sympatique et voulut rajouter un détaille à leur propos tout à fait circonstancié.
-Et si vous saviez quand il pétarade de l'arrière et ne s'est pas laver les devants !
D' un seul coup ils partent tous en une franche rigolade finlandaise pas piquée des hannetons (normale... y en a pas à c't'époque de l'année).
Ben tien,Päivikki la chienne de traineau sort de dessous la neige et Ulla-Maja et Taika et... toute la meute en fait. Le pantalon et les chaussettes ont un instant de doute légèrement angoissé.
C'est Päivikki qui cause parce que c'est elle la chef.
-Si je peus me permmettre,monsieur pantalon mesdames épingles et le couple chaussettes... l'autre con... quand il nous crie des ordre et que nous courrons comme des folles pour le satisfaire... qu'est ce qu'il pue de la gueule !
Dans la Taïga, la steppe, les ergs et les regs, les forêts amazoniènes, les montagnes de l'hymalya, les monts d'arrée, labas, ailleur et même la planête mars et la face cachée de la lune... d'un seul coup tout le monde se marre,se bidonne,se tord,se boyaute,c'est de la folie, on en reparlera dans 1OOOO ans.Cool.
stouf
RépondreSupprimerCoïtus impromptus, I'm a fool to get ( want ) you. https://youtu.be/rejizpNR20A
stouf
RépondreSupprimerLe pantalon de Paul se morfondait dans le placard. On l' avait noyer, frotter vertement, on lui avait à moitier brûler le corps afin qu' il s' aplatisse et pour finir on l'avait poser là, au milieu des objets innanimés, seul. Mais une grande dame brune veint vers lui, avec sa gueule de carême et ses larges yeux cernés et il avait le coeur à la traine, le coeur à pleurer. Ah la garce, pensa le pantalon de Paul. Il la regarda droit dans les yeux et lui dit:-Dans ta triste robe de moire avec tes cheveux mal peignés, t' as la mine du désespoir, tu n'es pas belle à regarder. Aller va t-en porter ailleurs ta triste gueule de l'ennui !
A ce moment là monsieur Paul ouvrit le placard et une grande lumière illumina le monde.
-Oh chouette mon pantalon vert, je l'avais presque oublié celui là !
D' un seul coup ce fut la liberté, la rue, l'air frais et les jupes des femmes, le bonheur...
stouf
RépondreSupprimerhttps://youtu.be/GlVrWsEUFGY