De couler des heures lentes
Sans égard, juste patiente
Folle idée bien que craquante
Le rêve en porte mémoire
J’ouvre un merveilleux grimoire
Sans égard, juste patiente
Folle idée bien que craquante
Le rêve en porte mémoire
J’ouvre un merveilleux grimoire
J’esquive quelques déboires
Contourne la plaine ivoire
Belle évasion grâce aux visions
Magique et folle déraison
Qui dans mon âme donne le ton
De si magnifiques chansons
Il ne s’agit que d’envolées
Qui ne me parlent que d’été
De maritimes traversées
Qui n’ont pas l’heure d’exister
Réalité ou beau miroir
Qu’aurais-je à perdre à y croire
C’est dans ma tête il faut le voir
Quand le conte estompe le noir
Contourne la plaine ivoire
Belle évasion grâce aux visions
Magique et folle déraison
Qui dans mon âme donne le ton
De si magnifiques chansons
Il ne s’agit que d’envolées
Qui ne me parlent que d’été
De maritimes traversées
Qui n’ont pas l’heure d’exister
Réalité ou beau miroir
Qu’aurais-je à perdre à y croire
C’est dans ma tête il faut le voir
Quand le conte estompe le noir
Les voyages immobiles, certaines imaginations sont de véritables cargos.
RépondreSupprimerLa plus belle façon de ne pas perdre de temps, c'est de mettre de la poésie dans chacun de ses moments...
RépondreSupprimer¸¸.•*¨*• ☆
Perdre son temps à rêver, quel beau programme !
RépondreSupprimerPas de place au chrono dans tes rêves d'ailleurs !
RépondreSupprimerLes envolées n'ont peut-être pas l'heure d'exister, mais, à ce que je lis, elles ont l'heur d'être dans ta tête, et là, je te suis...C'est très joliment dit.
RépondreSupprimerdans ta tête la poésie est encore là et depuis toujours et j'aime "quand le conte estompe le noir" ... en réalité tu rêves éveillée aussi ...
RépondreSupprimer´Couler des heures lentes'.. des heures choisies , des heures rêvées .. Rien de tel !
RépondreSupprimerC'est décidé, toute activité cessante, je ne lis plus que vos poésies
RépondreSupprimerLes voyages intérieurs, un pied de nez au temps ravageur.
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