De la France détachée,
Je n’ai pu trouver la cascade desséchée,
Rentrée dans mon pays, je n’avais plus rien.
Plus de palmier, mais le chêne
Il ne faut pas dire que j’ai eu peu de soutien.
Je pédalais dans la Drôme des collines à perdre haleine,
Le vent s’engouffrait dans la vallée du Rhône, l’aquilon
Est-il plus porteur que ce désordre que je promène ?
Des courants froids de l’Atlantique à la plaine
Champenoise, de Casablanca au vallon
Des bulles dorées, la curiosité me mène
A lire et marcher jusqu’à m’effrayer,
Tant de livres et chaque chose
A découvrir alors que le temps de la rose
Est plus court que de la gloire le laurier.
Où lire Laura Vanel-Coytte
Je n’ai pu trouver la cascade desséchée,
Rentrée dans mon pays, je n’avais plus rien.
Plus de palmier, mais le chêne
Il ne faut pas dire que j’ai eu peu de soutien.
Je pédalais dans la Drôme des collines à perdre haleine,
Le vent s’engouffrait dans la vallée du Rhône, l’aquilon
Est-il plus porteur que ce désordre que je promène ?
Des courants froids de l’Atlantique à la plaine
Champenoise, de Casablanca au vallon
Des bulles dorées, la curiosité me mène
A lire et marcher jusqu’à m’effrayer,
Tant de livres et chaque chose
A découvrir alors que le temps de la rose
Est plus court que de la gloire le laurier.
Où lire Laura Vanel-Coytte
Femme qui voyage laisse voyager son cœur (Rivarol) et vagabonder la poésie de ses mots
RépondreSupprimerne sommes nous pas d'éternels voyageurs du vivant ?
RépondreSupprimerAh...les collines de la Drôme...comme ça me parle !
RépondreSupprimerBravo, bien joué, Laura.
¸¸.•*¨*• ☆
Tous tes écris sont des voyages ou tu m'emmènes... Je me demandais comment tu allais terminer ton poème mais tu n'as pas eu de problème, les vers coulent et s'emboitent à merveille !
RépondreSupprimerCela doit être un tel changement de vie...
RépondreSupprimerOui. Le temps de la rose est éphémère. Mais aussi celui des lauriers de la gloire. Tout passe...
RépondreSupprimerdéménager 10 fois en 20 ans et voyager ne sont pas les mêmes choses
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