Là
où y'a du chêne...
Fine bretelle détachée
brûle
ma gorge desséchée
montent
mes idées de vaux-rien
y'a
du plaisir où y'a du chêne
un
tapis moussu en soutien
mêlés
son parfum, mon haleine
le
trouble souffle en aquilon
sous
son jupon je me promène
elle
n'est pas morne sa plaine
ni
ses mamelons, son vallon
alors
c'est sa main qui me mène
pourquoi
craindre de l'effrayer
quand
elle cramponne la chose
j'ai
droit au bouton de sa rose
à
la couronne de laurier
Où lire Vegas sur sarthe
Chaud, comme mon café avalé,
RépondreSupprimerBeau, ce doux poème murmuré.
(Je m'entraine !)
encore bien vert le laurier :)
RépondreSupprimerTant qu'il y aura du chêne et de la mousse :)
SupprimerComme une réponse à mon tour de soi...
RépondreSupprimerJ'adore
♥︎
Les bons esprits se répondent
SupprimerToujours en forme mister Vegas et en bonne et due forme tu passes du chêne au laurier !!! ;-)
RépondreSupprimerRarement en panne d'essences :)
SupprimerAh ba oui là ...c'est à se demander si ce poème n'est pas l'original...pour ne pas dire originel.. ;-)
RépondreSupprimerA part être dur de la feuille, je ne vois pas d'autre lien avec le poème original :)
SupprimerSous le jupon tu as trouvé mieux que les pieds d'une reine. Il est vrai que tu t'es glissé plus haut...Très sensuel ce poème. Et coquin.
RépondreSupprimerPardon... j'ai glissé :)
Supprimerbel exercice
RépondreSupprimeroui
chêne tes gnous...
(c'est marrant de voir comment ce mot imposé, un peu verrue en fait, à été traité par chacun)
quant aux beaux restes
y'a rien à jeter...
:)
exercice pas facile... pour certains ce chêne était du boulot !
Supprimerahah j'ai compris à partir de "jupon" seulement !
RépondreSupprimerIl n'est jamais trop tard
SupprimerA resservir à qui de droit pour la Saint Valentin, très cher coquin de toi :))
RépondreSupprimerJ'ai déjà réservé ma "place" :)
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