Cékoidon.
Je l'ai tué, me suis enfin détachée
De ce machin à la peau desséchée
Et qui ne ressemblait plus à rien.
Je me suis réfugiée sous le chêne
Pour qu'il m'apporte son soutien.
Là encore je sentais son haleine
Apportée par ce terrible aquilon.
J' ai vu son âme qui se promène
Vole, court et danse sur la plaine
Jusqu'à atteindre le fond du vallon.
Claude, je refuse qu'elle me mène
Dans ton enfer où tu veux m'effrayer
Je ne suis, las, qu'une pauvre chose
Aussi fragile et tendre qu'une rose.
Je sais. Je ne mérite pas de laurier !
Voilà encore une autre façon d'utiliser les rimes imposées, un autre thème, j'aime beaucoup !
RépondreSupprimerMerci Maryline ! Bienvenue !
Supprimer"Marité m'a tuer" pourrait-on dire mais il lui reste encore du chemin à parcourir pour se débarrasser de cette âme insidieuse
RépondreSupprimerAh ah ! Je t'ai débusqué l'ami ! :-) Je me doutais bien que tu étais le Claude Vega ou Vegas - je ne sais plus - humoriste réputé. Mais tu ne fais pas ton âge...
SupprimerUn machin desséché qui ne ressemblait plus à rien ?
RépondreSupprimerJe me demande de quoi tu parles.. :-)
Mais j'aime bien le mystère.
¸¸.•*¨*• ☆
Ben, ma chère Célestine, je ne sais pas aussi bien que toi parler des choses... ;-)
Supprimerla suite donc du texte que tu as écrit pour le précédent thème :)
RépondreSupprimerune façon que le personnage a trouvé pour tourner la page de sa relation à Claude...
Mais oui Tisseuse, c'est bien cela. Tu penses bien que je ne pouvais éviter de mordre à l'hameçon qui m'était tendu la semaine dernière !
SupprimerQu'est-ce qu'on s'amuse sur les Impromptus ! J'adore.
cékoidon cette chose
RépondreSupprimerc'est une bonne question
et j'ai bien aimé l'ambiance
donnée
j'irai voir cet hameçon...
Ambiance mystérieuse avec du surnaturel. On imagine les visions que peuvent avoir la narratrice.
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