Que reste-t-il de tout cela, dites le moi…
Drapeaux froissés, couleurs passées
Ad Patres
Tout mélangé, dénaturé
De la passion à la blessure
De la caresse au nez dans l’mur
Du divin au vide
A parts égales mais sans partage
Armes rendues, jamais brandies
Arrêter là cette comédie
Ce matin, le soleil à ma fenêtre
Dessine d’autres couleurs
Comprendre ses erreurs pour ne plus les reproduire... pour que les fenêtres s'ouvrent sur de belles couleurs
RépondreSupprimerA chanter mais sur quelle ère?
RépondreSupprimerque reste-t-il ?
RépondreSupprimervaste question !
mais bien contente de te voir revenir par chez nous :)
Dire non aux chimères... aux épouvantails de la violence, regarder ailleurs... J'aime la confrontation que le texte nous adresse, bravo AOC !
RépondreSupprimerTon texte colle bien avec la chanson de Trénet et cela m'a plu:o)
RépondreSupprimerQuelle charge, j'adore !!
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